[Donna & Illiana] De charmantes retrouvailles

De charmantes retrouvailles

Informations civiles

Nom : Haru
Prénom(s) : Illiana Narcissa Astoria
Surnom(s) : Illi, Vipère

Date de naissance : 25 Février 2109, elle a donc 24 ans
Lieu de naissance : Londres
Nationalité : Anglaise

Classe sociale : Moyenne
Opinion politique: Déteste les Pozhiratelis mais se tiens tranquille pour protéger le petit être qu'elle a dans son ventre
Ascendance : Pur
- Père : Sorcier qui descend de la famille Malfoy
- Mère : Sorcière qui descend de la famille Parkinson

Ancienne école : Poudlard
Ancienne maison : Serpentard
Métier exercé : Bibliothécaire
Lieu de résidence : Une maison dans la périphérie de Londres

A Poudlard, Illiana partageait sa chambre avec quelqu'un. Son compagnon ? Non. Ce dernier vivait tranquillement dans leur maison, sur Londres, en compagnie de son frère jumeau. Elle, elle partageait ses appartements avec la compagne du frère jumeau de son petit ami, soit en réalité sa meilleure amie Abby. Les deux jeunes femmes avaient obtenues le poste de Bibliothécaire. Elles n'y connaissaient rien en livres, mais c'était un moyen pour Tiphaine de réintroduire au sein de Poudlard des personnes qu'elle savait sous son contrôle. Alors Abby et Illiana profitaient de leur vie au château, toujours ensemble.

Mais pas aujourd'hui. Quittant la Bibliothèque seule, laissant Abby aux mains d'un élève de Serdaigle posant trop de questions, elle prit la direction de la salle du personnel. Monter 6 étages, pour le moment, ça lui allait encore. Il fallait dire que son ventre ne se voyait pas. Cela faisait maintenant 5 mois qu'elle était enceinte et si on ne le savait pas, alors on ne pouvait pas le voir. Mais Narcissa savait que dans quelques mois, gravir tous ces étages serait alors compliqué. Et vu qu'Abby était dans le même état qu'elle, les deux jeunes femmes seraient inséparables au premier étage !

Poussa la porte de la salle du personnel, Astoria poussa un soupir de soulagement en voyant qu'il n'y avait personne. Elle y venait rarement, de peur de croiser des personne qu'elle ne voulait pas croiser. Bon en fait, elle ne voulait croiser personne. Il fallait dire qu'elle en avait fait souffrir des gens ici. Tous les professeurs qui étaient encore ici, elle les avait eu quand elle était étudiante et elle leur en avait fait voir de toutes les couleurs. Oui, la Haru avait été une vraie peste. Et elle l'est toujours. Seules Abby et Tiphaine méritent son respect. Et bien sur son filleul, un de rares élèves à qui elle adresse la parole sans lui lâcher une seule grossièreté. Bon, avec les Serpentards elle était plutôt gentille, mais pas avec les autres, sauf Cliff qui avait le malheur d'avoir été réparti à Poufsouffle.
S'approchant du thermos elle se servit un café, prit un de ces délicieux gâteau que les elfes leur préparait à eux, membres du personnel, et elle prit place dans l'un des fauteuils très confortable de cette salle. Son dos la faisait légèrement souffrir, signe que son bébé commençait à bien se développer. Le transplanage lui était interdit, de peur de démembrer son enfant, alors c'était compliqué de rentrer tous les weekends, mais elle le faisait parce qu'elle avait besoin des bras d'Achille.

Observant par la fenêtre, Illiana ne prêta plus attention au monde qui l'entourait. Son regard était porté sur le lac, le 7ème étage apportant une magnifique vue sur celui-ci.

Interprété par Tiphaine V. Retrac

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De charmantes retrouvailles ?!

C'est quand la lune brille que les étoiles scintillent

Donna & Illiana ;

Poudlard. Pendant de nombreuses années, je m’y étais sentie chez moi. J’aimais étudier ici quand j’étais adolescente et par la suite, j’avais aimé y enseigner mais les temps s’étaient assombris et beaucoup de choses en moi avaient changé puis il y avait eu la mort d’Alix et ma prise en garde d’Emma et mon sentiment d’insécurité au sein de l’école. J’espérais de tout mon coeur que ce n’était qu’un simple ressenti et que ce n’était pas prémonitoire de quelque chose qui arriverait, je l’espérais vraiment, de tout mon être. M’emparant de ma baguette, je la glisse dans la poche intérieure de ma robe et attache mes cheveux en une natte légèrement décoiffée pour ne pas faire trop stricte. J’étais fatiguée. J’étais fatiguée d’être constamment sur mes gardes parce que je savais que j’étais surveillée, je savais qu’au moindre faux pas, tout partirait en vrille alors je tentais de passer inaperçue, d’agir dans l’ombre mais il fallait avant tout agir comme d’ordinaire alors c’est sans doute pour cela que je me dirigeais à présent jusque dans la salle du personnel au septième étage.

Les talons de mes bottes claquent en rythme sur le sol du château alors que j’approche de la porte de la salle du personnel. Je pousse la porte, pensant trouver une salle vide mais mon regard se pose sur la silhouette d’une jeune femme blonde que je reconnaîtrais entre mille. Je lève les yeux au ciel avant de fermer la porte derrière moi. Mon regard se pose quelques secondes sur son ventre arrondi, mes mains se crispent alors que mon esprit pense juste à « Prends ta baguette, tu l’as devant toi, là, juste devant toi. Tu as juré. » mais elle est enceinte. Je ne peux pas me résoudre à ça. Ma bonté me tuera. Elle m’a vue. Le destin semblait véritablement s’acharner contre moi, pourquoi mettre sur ma route celle qui avait tué mon mari ? Pourquoi me confronter à cet affreux souvenir. Ma main droite tremble en repensant à cet instant, ce moment où il s’est effondré dans mes bras.

Je ne dis pas un mot et me dirige vers la table au fond de la salle avant de me servir une tasse de thé. Je tourne finalement la regard vers Illiana.

« Le destin s’acharne à mettre sur ma route des vipères venimeuses. C’est navrant. »

Je prends la tasse entre mes mains et me dirige vers un fauteuil un peu éloigné d’Iliana parce que je n’avais aucunement vie de l’avoir devant les yeux mais c’était chose vaine, je le savais, je connaissais la jeune femme. Elle ne resterait pas ici en ne disant mot, entre elle et moi, c’était le désamour depuis toujours et ça ne semblait pas avoir changé, encore moins après ce qu’elle avait fait.

b l a c k f i s h

panic!attack

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Le lac... Autrefois, durant l'été, Illiana avait l'occasion de souvent y venir. En compagnie de Tiphaine, qui était la seule à avoir accès au domaine durant l'été, mais aussi en compagnie de Draka et de Cliff. Tous les 3 ils formaient une belle petite famille. Si Narcissa avait la chance d'entrer dans ce tableau familial, c'était parce qu'elle était la marraine de Cliff. Elle se souvenait de leurs nombreuses batailles d'eau, du bonheur qui rayonnait dans les yeux de sa soeur et de Cliff qui s'amusait à faire couler la jeune Malfoy. Ils avaient passés de bons moments. Avant que tout n'explose. Avant que Cliff ne se rebelle contre sa mère. Avant que Draka ne se fasse tuer. Avant que Tiphaine sombre. Avant qu'elle ne parte pour l'Amérique.

Poussant un soupir, Astoria caressa doucement le bas de son ventre. Elle espérait que même part les temps qui couraient elle aurait le droit d'élever son enfant comme elle le désirait. Par chance, Achille et Wyatt étaient de sang pur. Ainsi, même si elle avait uni sa vie à quelqu'un qu''elle n'aurait peut-être pas du épouser, le sang de l'enfant qu'elle portait serait pur et ainsi les Pozhiratelis n'auraient rien à lui dire. Mais ce pauvre enfant serait marié de force avec un autre sang pur. Monde cruel. Mais il était trop tard maintenant pour retourner en Amérique.

La porte de la salle s'ouvre. Astoria tourna la tête pour observer la personne qui entrait et manqua de s'étouffer avec sa salive. Donna Sheridan. Certainement la personne qu'elle aurait voulu le moins croiser ! Pourquoi ? Parce que l'histoire entre les Sheridan et elle est... assez triste.
Déjà, pendant ses études, la Haru en avait fait voir de toutes les couleurs à la Professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Et puisque Tiphaine était Directrice et détestait elle aussi Donna, alors Donna n'avait jamais pu punir son élève. Elle s'était longtemps fait rabaisser devant tout le monde, et ça avait toujours amusé la Rici. Elle avait eu les pleins pouvoirs durant ses années d'études, et aujourd'hui elle se sentait encore supérieur à cette femme.
Parce que récemment, la Bibliothécaire avait assassiné froidement le mari de Donna. Sam. Ça avait été très amusant. La traque, les paroles échangées, puis cet éclair vert au moment où on s'attend le moins. Et depuis ça, les deux femmes ne s'étaient pas croisées. Et puisqu'elle travaillait dans la même école, il avait bien fallut qu'elle se recroise.
Leur première rencontre au sein de Poudlard avait eu lieu lors du discours de rentrée. Puis elles se voyaient lors des repas. Mais il y avait toujours du monde entre elles. Mais pas aujourd'hui. Donna était là, seule. Et elle aussi était seule. Peut-être qu'elle aurait mieux fait de ne pas abandonner Abby.

Donna : (...)

Navrant pour qui ? Pour toi ou pour moi qui doit me farcir ta tronche à chaque coin de couloir ? De nous deux je me demande qui a vraiment sa place dans cette école. D'ailleurs, comment se porte ton mari ? Les vers sont-ils rassasiés ?

Un sourire mauvais étira les lèvres d'Illiana. Se montrer gentille avec Donna ? Hors de question. Et ce n'était pas parce qu'elle était plus forte qu'elle qu'elle devrait se taire. Au contraire. Il fallait la pousser à la faute. Pousser Tiphaine a trouver une excuse valable pour la renvoyer de Poudlard. Ainsi Emma ne serait plus protégée, et une autre Sheridan pourrait tomber.

Interprété par Tiphaine V. Retrac

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○ Donna & Illiana

Toujours assise sur le fauteuil que j’ai choisi, j’approche la tasse de mes lèvres avant de boire une gorgée. Je lève les yeux au ciel à la réplique d’Iliana. Haru.. Par le passé, ça n’a jamais été l’amour fou. Elle m’a fait vivre un véritable calvaire et le pire, c’est que vu que sa très chère soeur était à la tête de l’école, je ne pouvais pas lui mettre de retenues parce qu’elle y échappait à chaque fois. Plus d’une fois, j’ai voulu en finir avec elle mais je n’en avais pas le droit, je n’étais pas une meurtrière. Puis, je ne voulais pas risquer mon poste. Aujourd’hui, j’avais de la chance d’être sortie vivante d’Azkaban, et pour la sécurité de ma nièce et des jumeaux, je ne sortirais pas de mes gonds même si connaissant Illiana, elle allait tout faire pour. Mais depuis le temps qu’elle me connaît ? Elle devrais savoir comment j’agis non ? Je lève les yeux au ciel et reprends la parole, toujours ma tasse entre les mains.

« Le temps ne t’arrange pas Illiana, tu as toujours un humour à vomir. C’est pathétique. » ajoutais-je alors que je me levais pour prendre un peu plus de sucre que j’en avais.

Me servant, je pose mon regard sur le ventre arrondi de la jeune femme. Allait-elle réellement mettre au monde un enfant ? Elle ? Plus immature, on meurt. Je pousse un soupir mais retourne m’asseoir comme si de rien n’était. Cependant, cette fois, je ne la quitte pas des yeux.

« Sam t’emmerde Illiana. » m’exclamais-je « Et ne cherche pas à me titiller parce que ton petit jeu ne fonctionnera pas, pour le bien des jumeaux et de ma nièce, je ne rentrerais pas dans ton petit jeu ridicule et puérile. » ajoutais-je.

(c) miss pie

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Donna : (...)

Illiana ne perdit pas son sourire. Enfin elle allait pouvoir jouer un peu avec Donna. Depuis le temps qu'elle n'avait pas croisé quelqu'un avec qui jouer, Narcissa s'ennuyait. Elle ne pouvait pas se permettre d'être trop méchante envers les étudiants. Bon il lui arrivait de le faire, d'en renvoyer quelques uns trop chiants - notamment des Gryffondors - mais ce n'était pas aussi drôle que de s'attaquer à quelqu'un d'autre. Quelqu'un de plus puissant. Quelqu'un qui a de la réparti. Quelqu'un comme Donna.

Donna : (...)

Mon jeu est loin d'être ridicule. Tu l'es beaucoup plus que moi. Tu devrais installer des miroirs dans ta chambre tu le comprendrais. A moins que tu es trop peur de voir la vérité en face ?

Astoria gardait son sourire et rajouta un petit haussement de sourcils. Elle avait raison, Donna avait l'air ridicule. Elle l'avait toujours été. Et beaucoup plus aujourd'hui maintenant qu'elle avait perdu son mari et sa soeur. Qui serait la prochaine victime ? Emma ? Peter ? Elena ? La Haru ne savait pas mais elle savait qu'il y aurait une autre victime avant la fin de l'année scolaire. Parce que c'est comme ça. Dès que Donna trouve un semblant de bonheur, il faut lui détruire autre chose. C'est la seule manière pour la faire souffrir. Bien mieux que la tuer.

En tout cas, pour le bien de tes enfants et de ta nièce, tu devrais les abandonner. Franchement tu vas les mener dans ta vie de merde, il vaut mieux pour eux que tu les quittes. Ainsi ils auront la belle vie. Et nous aussi.

Plantant ses dents dans la petite pâtisserie qu'elle avait prit tout à l'heure, la Malfoy mâchait sans quitter Donna du regard. De toute façon son regard noisette la suivrait dans toute la pièce, jusqu'à ce qu'elle quitte la salle de repos. La Bibliothécaire sait qu'on ne tourne jamais le dos à un ennemi. Et Donna en est un.

Interprété par Tiphaine V. Retrac

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In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins
for dance floors.

Je me contente de lever les yeux au ciel à la réplique d’Illiana. Elle m’amuse. Oui elle m’amuse parce qu’elle se croit sérieusement plus mature que moi, enfin plus je ne sais trop quoi mais dans tous les cas, elle a oublié que je suis l’adulte actuellement et qu’elle me doit un minimum de respect, quoi qu’elle n’est plus étudiante…oh je m’embrouille. Je m’empare de ma tasse avant de boire une gorgée, tout en gardant le regard rivé sur la blonde, reprenant finalement la parole « Si tu tentes quoi que ce soit sur ma nièce ou les jumeaux, je te jure que je fais de ta vie un enfer, et crois moi, j’en suis capable. Mettre un terme à ton existence à mes risques et périls, j’en ai rien à secouer, ne plus voir ta tronche de gamine immature m’arrangera la vie à un point que tu ne peux même pas imaginer. »

Je pose ma tasse avant de tâter ma poche, espérant y trouver ma baguette. Je n’allais pas m’en servir, non ce n’était pas dans mes projets mais déjà que je détestais cette journée, fallait que je retrouve cette idiote en prime. Assise, je tourne le regard vers elle « et ta petite copine ne me fait pas peur, ni toi et encore moins ta soeur, elle rêve tellement de briser ma vie qu’elle ne s’amuserait à me tuer, ce serait trop rapide pour elle. Ta famille d’abrutis me fait bien rire. » énonçais-je à la blonde. M’emparant d’un bouquin qui traînait, je l’ouvris, faisant semblant de lire. Sa présence m’importait peu mais je savais bien que cette imbécile ne s’arrêterait pas comme ça.

Pando

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Donna : (...)

Illiana ne répliqua pas, continuant d'afficher son petit sourire tout en mangeant tel une princesse la pâtisserie qu'elle avait entre ses doigts.
Tant que Tiphaine n'en donnerait pas l'ordre, elle ne toucherait pas un cheveux des Sheridan. Mais ça ne l'empêchait pas de pouvoir leur parler, ni même de les retourner contre leur mère. Peter semblait être le plus faible des trois. Il serait donc facile de l'amener doucement à rejoindre les rangs de la Retrac. Au moins, en se rangeant du côté de la Directrice, il obtenait l'avantage d'une protection contre les Pozhiratelis. Chose que Donna ne pourrait pas lui fournir. Après tout, Donna s'était fait prendre bêtement. Tiphaine s'était fait attraper aussi, mais c'était différent. Elle s'était rendue elle-même, elle ne s'était pas fait piéger.

Donna : (...)

Ma famille est bien plus puissante que la tienne Donna. Sinon Sam ne serait pas tombé comme une vulgaire mouche. A croire que vous aimez les pièges chez toi. Entre von Roppelt et moi, vous êtes tous les deux tombés dans le panneau. Je suis d'ailleurs bien déçue que von Roppelt ne t'es pas tué. Ça nous aurait fait un nuisible de moins sur cette planète.

Sa pâtisserie terminé, la blonde glissa sa main propre dans sa poche et en sortit un mouchoir. Elle essuya ses doigts, un à un, lentement, comme un criminel essuierait une arme après avoir tué une personne et profitant ainsi de la vue du sang sur ses doigts. Finalement en y repensant, la mort de Sam avait été trop rapide. Dommage.

Interprété par Tiphaine V. Retrac

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In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins
for dance floors.

Je n’en pouvais plus de cette sale gamine. Elle m’hérissait le poil mais je ne pouvais rien faire, non, je ne pouvais pas agir. Il fallait que je sois réfléchie et qu’elle comprenne qu’elle n’avait pas le contrôle sur moi, elle n’était clairement pas mieux que moi. Elle était même pire que moi, ça il fallait qu’elle en ai conscience mais chaque chose en son temps. Un vent froid me parcouru l’échine alors que je posais un regard sombre sur Illiana.

« Je t’interdis de parler de mon mari ! »

Refermant le livre avec ferveur, je le tenais tout de même toujours sur mes genoux, ma baguette dans ma main, je fixais Haru avant de finalement reprendre la parole.

« Si je voulais, je te changerais en cafard et je t’écraserais d’un simple pas. Mais bon, ça m’emmerderait de salir ma semelle avec une meuf qui n’en vaut tout bonnement pas la peine. Tu n’es qu’une perverse narcissique qui se croit être sortie de la cuisse de Jupiter et je te jure que tu vas m’avoir sur le dos un bon moment et je finirais bien par te faire mordre la poussière et te faire comprendre que tu n’es qu’une bonne à rien. » m’exclamais-je.

Faisant tourner ma baguette dans ma main, je rouvris le livre et commença le nouveau chapitre.

Pando

De charmantes retrouvailles

Donna : (...)

Un sourire moqueur apparût sur le visage d'Illiana. Ainsi Donna n'aimait pas entendre la vérité sur son mari ? Dommage. De toute façon pour une professeur de Défense, elle l'avait toujours trouvée très lâche. N'était-ce pas elle qui avait attaqué, à deux reprises, Tiphaine alors qu'elle lui tournait le dos ? Oui, jamais elle n'avait attaqué de face. Elle était trop faible.

Donna : (...)

Amuses toi donc à m'espionner comme un vulgaire toutou si ça te fait plaisir Donna. Mais saches que je te suis en tout point supérieur. Tu es peut-être courageuse mais totalement stupide. Surtout pour un professeur de Défense contre les Forces du Mal. Durant toutes ces années tu n'as pas changée, tu es restée la même. A agir dans le dos des gens en pensant qu'on ne te voit pas. Mais... un jour il faudra que tu affrontes tes démons de face ma chère. Et ce jour là tu crèvera.

Sur ces belles paroles Narcissa se leva et tourna les talons pour quitter la salle des professeurs. Est-ce que cette lâche allait l'attaquer alors qu'elle lui tournait le dos ? Ça ne serait même pas surprenant venant d'elle.

Interprété par Tiphaine V. Retrac

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De charmantes retrouvailles

Respire Donna, ne réagis pas. Respire Donna, ne réagis pas. Voilà ce que m’hurlait presque ma voix intérieure. Ma baguette toujours dans la main, je la faisais tourner alors que mon regard déviait entre mon livre fort peu intéressant finalement et Illiana qui me tournait littéralement le dos pour aller voir ailleurs si j’y suis. Au fond de moi, j’avais une folle envie de lui écraser les tripes, de la changer en je ne sais pas trop quoi et de la faire disparaître de mon univers mais elle était enceinte et je n’étais pas cruelle au point de m’en prendre à un enfant qui lui n’a rien demandé alors j’attendrais…j’attendrais jusqu’à ce qu’il soit temps.

Aussi je me contenta de lever les yeux au ciel à sa remarque plus que déplacée et complètement immature. Si elle croyait vraiment m’arriver à la cheville… Je finis finalement par ranger ma baguette dans la poche de ma robe et feuillette mon bouquin comme si de rien n’était, je n’allais pas lui faire le plaisir de riposter, elle serait trop ravie.

« Continue à déblatérer, tu m’amuses. » déclarais-je juste avant de replonger dans mon bouquin.

(c) AMIANTE

Terminé

Je vais demander à ce que ce RP soit verrouillé Wink

Hésites pas si tu veux revoir ma peste un autre moment hihihi

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