[RP] Le Père Noël est une ordure

Le Père Noël est une ordure

Informations

Si vous avez des questions, je vous renvoie dans le sujet des cadeaux, juste ici, pour ne pas polluer notre magnifique zone de RP Wink
Vous retrouverez d'ailleurs le listing de TOUS les cadeaux dans ce message.

Comme nous laissons la possibilité aux retardataires mais aussi aux nouveaux de participer à cet event, vous pourrez peut-être recevoir de nouveaux cadeaux. Donc ne soyez pas trop fermés dans le RP. De toutes façons vous verrez, ce dernier se déroule dans un laps de temps très court, donc vous aurez le temps durant ce mois et demi d'activité pour bien vendre et vous prendre la tête avec d'autres personnes dans la boutique =°

Et attention, il se pourrait que le Narrateur soit comme le Lutin Farceur, d'humeur à donner quelques cadeaux aléatoires. Après on vous ne dit pas que le contenu sera forcément merveilleux, mais vous pourrez toujours le revendre =°

/ ! \ Il n'y a pas de "vendeur" qui sera joué dans cette boutique, on vous laisse le soin de le jouer. De toute façon la monnaie n'étant pas en circulation dans notre mode de jeu, ce n'est pas grave vous pouvez vendre vos objets comme vous voulez (ou les troquer avec d'autres membres que vous croiserez dans la boutique d'ailleurs, voire même récupérer un cadeau offert si le membre veut le vendre). Attention cependant à rester "simple", dans le sens où un stylo ne peut pas se vendre 100 Gallions XD

Contexte

Voilà deux jours que Noël est passé. Salomé O'Brian est une ancienne étudiante de Poudard et travaille dans la Grande Ville Marchande en tant que Serveuse au PUB. Vous avez déjà dû la croiser si vous êtes allés là-bas.
Comme tous les ans à Noël, elle reçoit des cadeaux pas franchement agréables... Certains de ses anciens camarades de Poudlard qui ne l'aimaient pas (une ancienne Poufsouffle qui s'est mis du monde à dos, surtout des Serpentards) lui envoient des objets plus pourris les uns que les autres. Souvent elle les jette mais... Cette année elle a décidé de faire autrement.

Ayant trouvé une petite boutique abandonnée au sein des Ruelles Sombres de la Grande Ville Marchande, elle a décidé de restaurer l'endroit et d'y instaurer un troc le temps d'une seule heure. Ainsi, elle souhaite permettre aux personnes ayant reçu des cadeaux indésirables de les revendre pour un petit prix, voir même des les troquer si d'autres acheteurs se montrent intéressés.
Bien sûr Salomé compte bien revendre tous les objets qu'elle aura acquis, à des prix dépassant fortement l'achat, mais bon, ça ne vous regarde pas...

Le bruit qu'une boutique éphémère allait donc ouvrir fit vite le tour de la Grande Ville Marchande et... bientôt du monde sorcier. Il faut dire que le bouche à oreille, ça fonctionne très bien !

Alors voilà. Salomé est devant la porte de sa boutique. Nous sommes le Samedi 26 Décembre, il est 9h59. Dans une minute sa boutique va ouvrir, pour une heure seulement, et des gens vont débouler de n'importe où pour revendre ces cadeaux dont ils ne veulent pas.

10h sonnent, la porte s'ouvre... Serez-vous dans la foule à revendre ces cadeaux qu'on vous a offert en y mettant tout notre coeur ?

La Team Chicken

Samedi 26 décembre 2133

Le 25 décembre 2133, un hibou m'est parvenu. Je ne le connaissais pas. Il tenait une boîte entre ses griffes. Dans cette boite, il y avait un joli écrin. Je me suis alors dit que c'était un cadeau d'un fan ou quelque chose du genre mais lorsque j'ai ouvert la boite, ce n'était pas un jolie bracelet ou une petite bague qu'il y avait à l'intérieur, mais une paire de boucles d'oreilles en forme de tête de mort. Je ne sais pas pourquoi, mais elles ont fait remonter en moi une vague de souvenirs atroces datant de ma période de captivité. J'ai tout de suite trouvé la plaisanterie de très mauvais goût allant même jusqu'à devenir presque paranoïaque, m'imaginant que les deux sorciers, qui m'avaient gardé pendant presque deux ans, revenaient me chercher. En réalité, avec ma baguette en main et tous mes moyens, je ne risque probablement pas grand-chose d'eux, mais la peur est un sentiment incontrôlable.

Par chance, j'ai entendu parlé d'une boutique qui ouvre exprès pour la vente de cadeaux de Noël ratés ou même pour du troc. Le problème est qu'elle n'ouvre que durant deux heures et cela tombe évidemment le jour de notre départ en voyage avec Philipp. Notre train a quitté la gare aux alentours de neuf heures. C'est donc avec regret que j'abandonne mon partenaire, en transplanant jusqu'à cette fameuse boutique. Je me console en me disant que je vais vite le retrouver et que je vais être débarrassée de ce bijoux de malheur.

Lorsque j'arrive dans la boutique, il est dix heures précises et il n'y a personne. Je m'avance jusqu'au comptoir et pose la boîte assez rapidement. Je la jette presque.

(Anglais) - Bonjour ! Il y a quelqu'un ?

J'entends du bruit qui semble provenir de la réserve que j'arrive à entrapercevoir. Une voix me réponds alors distinctement.

(Anglais) - J'arrive. Une minute !

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C'EST LES SOLDES ?
all these useless gifts
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Des cadeaux. Lynn avait reçu des cadeaux de Noël, la plupart inutiles et nuls à chier, et elle ne savait quoi en faire. Des colliers débiles. Un cours de Beauxbâtons. Une cigarette électrique. Ridicules. Qu'est-ce que ces gens voulaient qu'elle fasse de ces choses ? Autant la cigarette aurait pu être une bonne idée, mais Lynn avait finalement décidé qu'elle n'arrêterait pas de fumer alors... Les paquets étaient empilés sur son lit, et elle ne savait qu'en faire. Devait-elle les jeter ou les refiler à d'autres insectes ? Elle pourrait même s'arranger pour leur faire comprendre, en offrant à Etana, Charlie et Pietro les cadeaux des autres ? Il n'y avait que ce pendentif chat dont elle ignorait le destinataire. Probablement un idiot qui a voulu lui faire une blague. Personne de très intelligent ni intéressant, en tout cas. Mais bref. Lynn était en train de réfléchir quand elle aperçu un prospectus posé sur le lit d'une de ses colocataires, brochure parlant d'une boutique où l'on pouvait revendre ses cadeaux indésirables. Et elle ouvrait maintenant.

Ni une ni deux, Lynn enfila une robe en laine marron par-dessus ses collants troués, enfonça ses bras dans une veste en cuir et un bonnet sur sa tête, enroula une écharpe autour de son cou et, bottines aux pieds, quitta Durmstrang avec ses paquets sous le bras. Prendre la poudre de cheminette ainsi encombrée ne fut pas une partie de plaisir, mais elle parvint à atteindre la rue commerçante de la Grande Ville et à trouver son chemin jusqu'à la fameuse boutique. Les dix heures venaient à peine de sonner, et les lieux étaient quasiment déserts, seulement occupés par la vendeuse et une dame que Lynn reconnu comme étant la directrice Jones, de Beauxbâtons. Elle lui jeta un regard bref mais ne la salua pas, se plaçant derrière elle pour attendre son tour. D'un regard de côté, elle remarqua une boite à bijou posée sur le comptoir mais ne pu en voir le contenu. Vous non plus n'aimez pas les bijoux ? On m'a offert deux colliers débiles, cette année, comme si c'était mon genre... Levant les yeux au ciel, Lynn leva ses propres boites, l'une contenant le demi-pendentif en forme de chat, l'autre le pendentif en perle noire offert par Pietro. Comme si elle allait porter un bijou offert par Blondie ! Autant lui mettre une laisse autour du cou !

CODE BY TIC TAC

Le Père Noël est une ordure.

Samedi 26 Décembre 2133

Noël. Parfois c'est une bonne période. Parfois non. Le 24 au soir, Babylon avait eu la chance de passer une magnifique soirée en compagnie de ses deux camarades : Lynn et Charlie. Enfin bonne soirée on ne pouvait pas dire qu'elle avait été excellente. Sans compter que le lendemain, il avait eu le droit à de magnifiques cadeaux.

Charlie avait eu la bonne idée de lui offrir un livre : "la drague pour les nuls". Alors ok, le Stein avait du mal à parler aux demoiselles mais avec un ou deux verres dans le nez, il était capable de tout faire. Il suffisait qu'il repense à son été moldu pour se persuader qu'il n'était pas nul. Après tout, si Allison était restée, c'est qu'elle avait adorée leurs petits moments non ? Même si l'alcool les avait bien aidé il fallait le dire.
Cadeau suivant : Etana. Elle était mignonne. Et hors de question que Babylon ne revende ce petit cadeau. Bon la bourse ce n'était pas totalement son truc mais il ne pouvait pas la revendre parce que malgré tout il la trouvait mignonne et utile.
Venait ensuite un cadeau de Lynn. Alors parfais pour le tableau. Ça, il comptait bien le garder. Moins pour les petits papillons. Il n'en avait pas besoin. Bon les épingles par contre pourraient elles aussi être utiles pour lui permettre d'accrocher des trucs sur ce tableau. Lynnette lui avait certes dit de rester loin de ces dernières mais il préférait les garder ! Utiles pour accrocher des photos ou un certain professeur d'Êtres Inférieurs.
En parlant de ce professeur débile, il s'était permis de lui offrir un livre sur les moldus. Le revendre permettrait donc à Babylon de se faire un peu d'argent. Non pas qu'il en est totalement besoin mais bon, c'était toujours utile un peu d'argent pour cette fois acheter un livre beaucoup plus utile.
Les deux derniers cadeaux étaient par contre très intéressant. L'ex Loup se ferait d'ailleurs un plaisir de venir verser le Veritaserum dans le jus de citrouille matinal d'un de ses camarades. Lequel ? Il ne savait pas encore. Mais Lynn était sa cible préférée pour le moment. Après Pietro. Tiens, au final, user de cette Potion sur lui serait peut-être plus drôle et lui permettrait de se faire renvoyer ?

Enfin bref... En retournant à Durmstrang après la soirée du 24, en compagnie de Philipp, Jack, Lynn et Charlie, Babylon avait eu la surprise de voir tous ces cadeaux. Et quelques heures après il avait apprit qu'une boutique lui permettrait, le lendemain de s'en débarrasser. PARFAIT ! Enfin quelqu'un qui avait compris que les cadeaux de Noël peuvent être pourris et peuvent donc se revendre. Enfin quelqu'un de sorcier. Chez les moldus, la pratique d'échanger ses cadeaux de Noël pour autre chose ou de les revendre était pratique courante. Il le faisait d'ailleurs régulièrement dans le passé notamment pour acheter des trucs beaucoup plus cool que ses parents ne pouvaient lui offrir, trop occupés à penser à d'autres choses que ce qu'il le passionnait réellement.

C'est donc les deux livres avec lui et les petits papillons tenus fermement dans sa main que Babylon quitta Durmstrang pour se rendre dans la Grande Ville Marchande. A quelques pas devant lui il la reconnu : elle. Venait-elle revendre le cadeau qu'il lui avait fait ? La connaissant, bien sûr ! Elle n'avait pas du apprécier ni prit le temps de regarder qui possédait l'autre moitié. Bon, comme cupidon le Stein était pourri il fallait l'avouer.
Le Pozhar pressa donc le pas et arriva quelques secondes après Lynn, prenant soin de ne pas faire trop de bruit. Il se glissa derrière elle et écouta ses paroles : du Lynn tout craché.

Lynn : (...)

(Bulgare) Je suis sûr que tu n'as même pas fait l'effort de voir qui possédait l'autre moitié. Tiens d'ailleurs, je préfère te les rendre plutôt que de me faire de l'argent sur ton dos.

Babylon approcha sa main de celle de Lynn et y laissa tomber les petits papillons.

(Bulgare) Pas contre je garde le cadre et les épingles. (Français) Oh et bonjour Madame Jones. Je suis heureux de vous revoir.

Il posa enfin son regard sur la femme qui se trouvait devant Lynn et lui offrit un charmant sourire. Maddison avait été sa Directrice pendant une année. Une belle année au sein de Beauxbatons. Et il comptait bien se faire renvoyer de Durmstrang pour retourner dans l'école Française.

Codage réalisé par Loukoum à la Cophirende Académie

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Don't you play with me

See life in the right light. It's a bright ride, ain't it baby? One time we were so high. See the bright side, won't you baby?

Loukoum

Samedi 26 décembre 2133

Je m'impatiente. Je trouve le temps long. Un coup d'œil à ma montre m'indique 10h03. Ça ne fait qu'un instant que je suis là mais je n'ai qu'une hâte : retourner auprès de Philipp. Sa présence à mes cotés m'est de plus en plus chère et savoir que je vais l'avoir pour moi toute seule dans les prochains jours me rend euphorique. Ce n'est donc pas cette paire de boucles d'oreilles et ce petit temps d'attente qui vont me miner.
J'entends la clochette de la porte tinter derrière moi. Je me retourne et observe la jeune femme qui entre.

[...]

Je me remets en partie face au comptoir, légèrement de profil par rapport à la jeune femme. Elle est impolie. Vu son âge, elle doit encore étudier à Durmstrang. D'ailleurs, son visage ne m'est pas tout à fait inconnu. Je l'ai peut-être croisé à l'Institut lors de ma visite en début d'année, je ne sais pas. Enfin, ce n'est pas son impolitesse qui va ruiner ma journée. J'allais lui répondre lorsqu'une voix familière se fait entendre. Je me retourne et fait face aux deux étudiants. J'observe leur petit manège en silence. Ils ont l'air de bien se connaitre. Je ne connais pas tous les élèves qui sont ou qui étaient à l'école, loin de là. Mais lorsque j'ai entendu une voix, je sais souvent la reconnaître. Babylon. Babylon Stein. Il a fait sa première année à Beauxbâtons, si je ne m'abuse, et est revenu l'année suivante à l'occasion du Tournoi des Trois Sorciers. Le Tournoi des Trois Sorciers... Je balaie ses souvenirs mentalement.

(Français) - Bonjour Babylon. Le plaisir est partagé.

Je lui rend son sourire si charmant. Je n'ai pas de souvenirs de lui marquant. Ce devait être un élève moyen. Le genre d'élève dont chaque école a besoin. Le genre qui surprend et qui réalise de grands exploits. Mon sourire s'estompe légèrement lorsque je me souviens. Il a été envoyé à Durmstrang par les Pozhiratelis en début d'année. Le pauvre... J'affiche de nouveau un beau sourire.

(Français) - Vous êtes à Durmstrang cette année. Beauxbâtons ne vous manque pas trop ?

Mes yeux, amusés, lui font comprendre que je plaisante, a moitié. Parler sérieusement des sujets graves ne les rend pas moins importants. En rire peut, au contraire, les rendre plus doux, moins effrayants. Babylon n'a pas le temps de me répondre que la vendeuse arrive de son arrière-boutique.

(Anglais) - Bonjour messieurs, dames. Que suis-je pour vous ?

Je souris à la vendeuse avant de me tourner vers Babylon.

(Français) - Excusez-moi, je règle cette affaire et je suis à vous.

Je me tourne alors vers la vendeuse vers qui je pousse l'écrin d'un doigt. Je vais reprendre ma langue maternelle, enfin. J'ai beau être en France depuis dix ans maintenant et même posséder la double nationalité, l'anglais reste ma langue favorite. Le français est très beau, charmant et possède plein d'expressions. Avec mon accent australien, je dirais même que c'est la langue parfaite. Mais l'anglais est plus simple, plus fluide, plus tout, en fait.

(Anglais) - J'aimerais me débarrasser de cette paire de boucles d'oreilles.

La vendeuse attrape la boite et l'ouvre. La petite crispation qui surgit au coin de ses lèvres ne m'échappe pas. Nous sommes d'accord, ces boucles d'oreilles sont affreuses.

(Anglais) - Vous voudriez que je vous les reprenne pour quel montant.

(Anglais) - Je vous en fais don. Je n'ai pas eu à les payer et je n'ai pas particulièrement envie de me faire de l'argent avec.

La vendeuse ne paraît pas si surprise. Elle acquiesce tout en attrapant un petit chiffon qu'elle passe sur les bijoux. Elle les expose ensuite sur une étagère de la boutique.

(Anglais) - Je vous remercie madame.

(Anglais) - Tout le plaisir est pour moi.

Cette dernière phrase pourrait paraître de trop, mais elle est sincère. C'est un réel plaisir. Je me débarrasse de ces affreux bijoux et je suis sur le point de rejoindre Philipp.
J'offre un sourire à la vendeuse avant de me déplacer sur le côté afin de laisser la jeune impolie passer. Je me retrouve près de Babylon Stein à qui je souris de nouveau.

(Français) - Je m'excuse, j'ai commencé la conversation puis je suis passée à autre chose.

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