[Nicholas & Hawke / Connor] Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Premier jour de cours de cette année 2134. Et premier jour à reprendre très au sérieux son rôle de Préfet-en-chef dans les couloirs de Poudlard. Il faut dire que durant les vacances, Hawke avait un peu... fait le con ? Avoir fait explosé les toilettes de Mimi, avoir dévalisé les placards de la cuisine, avoir fait peur aux Poufsouffles... Oui, Jasper n'y avait pas été de main morte avec ses camarades. Et ça avait été fort amusant, notamment parce que la Directrice n'avait pas été présente et... disons que les autres n'avaient jamais osé lui dire quoique ce soit. Surtout parce qu'avec son petit groupe, ils avaient été doués pour couvrir leurs traces.

22h sonna à la tour de l'horloge. Devant les portes de la Grande Salle, le Carrow observa les préfets rassembler les étudiants de leur maison et les mener vers leurs salles communes. Bien sûr, son regard essaya tant bien que mal de capter celui de Léonie. Pour lui dire quoi au juste ? Oh il ne savait pas trop. Peut-être pour lui dire qu'il avait décidé d'officiellement la laisser tranquille. Et surtout parce que depuis le mariage de l'aîné des Krum et sa rencontre avec Olya, une autre idée avait germée dans son esprit. Il la laisserait tranquille, mais elle lui serait redevable à vie. Parole de Carrow.

Après un tour dans la Grande Salle pour vérifier qu'aucun étudiant n'avait eu la bonne idée de se cacher quelque part, Hawke entreprit son tour de l'école. C'était cool d'être préfet et de pouvoir se balader ainsi dans les couloirs sombres sans se prendre une remarque. Il croisa d'ailleurs le Professeur Lancaster, qu'il salua d'un signe de tête tandis que ce dernier regagnait ses appartements au sous-sol. Grimpant les étages jusqu'au septième, il commençait toujours sa ronde de là haut, pour redescendre ensuite jusqu'aux cachots. Même les escaliers de Poudlard connaissaient son chemin, puisque ces derniers le menaient toujours là où il le désirait. Quand on dit qu'ils n'en font qu'à leur tête, c'est vraiment avec les personnes qu'ils ont décidés de faire chier ou... qui n'ont aucun caractère.

Poudlard semblait calme en ce retour de vacances. Les étudiants étaient tous dans leur salle commune. Ou presque. Arrivé au premier étage, une faible lumière s'échappait de la Bibliothèque. Avec l'arrêt maladie des deux jeunes femmes - enceinte jusqu'au cou - personne n'avait reprit la responsabilité de cet endroit de Poudlard. Qui diable pouvait donc se trouver là ? Hawke n'en savait rien. Mais il pariait sur un Serdaigle. Est-ce qu'il devrait le sanctionner ? Hum, peut-être. Ou peut-être pas, ça dépendra de la tronche du Serdaigle et... de l'humeur du Carrow.

Mais alors qu'il approchait de l'entrée de la Bibliothèque, une ombre sembla arriver vers lui. Oh, un étudiant dans les couloirs ! Parfait. Celui de la Bibliothèque allait donc s'en sortir avec une simple remarque. Lui par contre, il allait passer entre les crochets de notre petit serpent. Tapis dans l'ombre, attendant sa proie, c'est quand cette dernière arriva au détour du couloir que Jasper l'attrapa par le col et le plaqua contre le mur, baguette pointée dans le cou de l'étudiant. Et quel étudiant...

(Anglais) Excuses moi, je pensais que c'était un étudiant. Tu devrais être dans ton dortoir à cette heure là.

S'éloignant du garçon, Hawke rangea sa baguette dans sa ceinture. Après tout, il savait que face au sorcier de 7ème année face à lui il ne ferait pas le poids. Il s'était déjà prit la raclée de sa vie il y avait à peine deux ans... Le Préfet-en-chef observa la lumière de la Bibliothèque mais... non, sa discussion avec le Serdaigle face à lui était plus importante que l'étudiant qui se trouvait là-bas.
D'ailleurs, prenez note qu'en ce Lundi 4 Janvier 2134 Hawke accorde des excuses à Nicholas. C'est à marquer partout en grand ! Parce que depuis ce qu'il avait tentait de faire à la meilleure amie du Préfet de Serdaigle, les deux garçons ne s'étaient pas reparlé. Laissant derrière eux des bons moments partagés tous ensembles.

(Anglais) Avant que j'aille m'occuper de l'étudiant qui est là-dedans, faut qu'on parle toi et moi. A propos de tu sais qui.

C'était drôle d'associer l'ancien nom du Seigneur des Ténèbres à Léonie. Non pas que ça face mal à Hawke de prononcer le prénom de son ex et premier amour. Bien au contraire. Juste que c'était plus simple de parler de manière discrète, pour éviter que cette conversation tombe dans les oreilles de petits curieux, notamment de fantômes qui ne sauraient as tenir leur langue.

Lundi 4 Janvier 2134

Jamy

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In the mist of the mornin' while the beast was asleep

Woke up with a plan so brilliant I could not believe. A mother and father, daughter and friends. Don't tell them, don't trust them, they won't understand. If you can't win the battle, it's better to run. Bury it down with my soul. Down in my soul.

Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Une nouvelle année commence, l’année 2134. C’est fou comme le temps passe vite. Tu as passé toutes tes vacances avec Léonie comme prévu, mais aussi à la bibliothèque. Cet endroit si symbolique pour toi, cet endroit qui t’a semblé bien vide pendant ces deux semaines sans le Bulgare. En parlant de lui, tu n’as finalement pas abordé le sujet avec Léonie. Après tout, tu ne sais plus où vous en êtes tous les deux, surtout après ton baiser volé la veille de son départ. En y repensant, ta main touche tes lèvres, se souvenant de ce contact si agréable… Tu secoues doucement la tête pour reprendre ta lecture. La grande salle est pleine a craqué à cette heure, ce qui est normal pour un retour de vacances et un banquet de roi organisé pour l’occasion. Tu es même sur que Léonie doit te juger sévèrement depuis la table des lions. Lire alors que tout le monde parle, rit de bon cœur, mange. Mais tu es prêt à tout pour éviter le regard pesant du bulgare sur ta personne. Car il va bien falloir parler à un moment donné, et ce moment a sonné.

Quand l’horloge sonne 22h, il est temps pour toi de jouer les préfets et de rassembler les troupes. Tu arraches un bout de papier dans ton livre et y notre des instructions pour le Serpent puis tu le replies et le garde au creux de ta main le temps de discipliner tout ce beau monde. « Les Serdaigles, en rang s’il vous plait ! » Dis-tu blasé devant l’indiscipline de tes camarades. Tu passes dans les rangs pour ordonné tout ça mais aussi pour vérifier que tout le monde est là. Tu profites de ce moment pour passer prêt du Serpentard en rang et tu lui glisses discrètement dans la main le bout de papier qui lui demande de te rejoindre dans la bibliothèque dans une heure. Le contact de sa peau te fait doucement frissonner, mais tu disciples rapidement ce trouble en disant à tes camarades de mettre en route vers votre tour.

Après avoir amené tout le monde a destination, tu commences ta ronde dans la tour et les couloirs aux alentours afin de t’assurer que tout le monde est bien rentré et ne cherche pas à fuir. Ce qui est plutôt rare avec les serdaigles. Tu es l’exception qui confirme la règle. Le carillon sonne 23h. Heure de ton rendez-vous avec tes responsabilités. Après un dernier coup d’œil à la tour, tu te faufiles vers la bibliothèque a pas de chat. Ton cœur bat la chamade au fur et à mesure où tu te rapproches de la bibliothèque mais tu n’as pas le temps de l’atteindre que tu te retrouves plaqué contre le mur, une baguette dans le cou.

« Excuses moi, je pensais que c'était un étudiant. Tu devrais être dans ton dortoir à cette heure-là. »

Je reste stoïque face au serpent, car ce n’est pas celui que tu souhaites voir en ce moment, c’est même tout le contraire. Un long soupir t’échappe alors que tu te redresses en replaçant ta robe de sorcier correctement.

« Je te retourne la question. Je suis préfet tout comme toi, ne l’oublie pas. »

Tu te retiens de lâcher un « abruti » qui te démange, mais tu perdrais du temps à te prendre la tête avec lui, et tu laisserais Connor t’attendre pour rien. Et là tout ce que tu souhaites c’est le rejoindre. Cependant, Hawke en décide autrement, ce qui t’exaspère au plus haut point.

« Avant que j'aille m'occuper de l'étudiant qui est là-dedans, faut qu'on parle toi et moi. A propos de tu sais qui. »

Tu sais qui… On dirait que le prénom de Léonie le tuerait si il venait à le prononcer. Ça te ferait des vacances cela dit. Nouveau soupire car tu es tiraillé par l’envie de l’envoyer se faire voir chez les moldus mais la curiosité est trop forte et tu craques.

« Je t’écoutes, tu as cinq minutes. »

Cinq minutes de trop pour toi comme pour Connor qui t’attend de l’autre côté de la porte.

Codage par Libella sur Graphiorum

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It'll be okay

Are we gonna make it? Is this gonna hurt? Oh, we can try to sedate it But that never works Yeah I start to imagine a world where we don't collide It's making me sick, but we'll heal and the sun will rise

IL EST TEMPS D'ENTERRER LA HACHE DE GUERRE, POUR LE BIEN DE NOTRE ROUQUINE

Oui oui, Nick était préfet, ça Hawke ne l'avait pas oublié. Mais il ne l'avait jamais croisé durant ses rondes alors il était surpris de le voir ici.

Nicholas : (...)

Cinq minutes ? Le Serdaigle était donc pressé ? A moins que... Un rire moqueur s'échappe de la bouche de Jasper. Lui, la salle qu'il préfère pour s'envoyer en l'air, c'est la salle de bain des Préfets. Est-ce que le meilleur ami de son ex avait un rencard avec la personne à la Bibliothèque ? Oh ça pourrait être intéressant.

(Anglais) L'affaire sera bouclée en cinq minutes t'inquiètes. Ton rencard t'attendra.

Le Carrow ne perd pas son sourire crétin sur son visage et passe une main dans ses cheveux avant de pousser un soupir. Puis son sourire disparaît. Parce que le sujet qu'il va aborder est sérieux.

(Anglais) Je repense au mariage de mon charmant frère et de ta meilleure amie. Je suppose qu'aux réunions de famille tu n'as pas envie de voir ma gueule. Alors j'ai... eu une petite solution. Et tu es ma solution.

En disant cette dernière phrase, le Serpentard s'était rapproché du Greengrass et le pointait du doigt, index posé sur le torse de Nick. Est-ce qu'il devait le lui dire maintenant ? Ou alors attendre qu'il lui pose la question ? Oh il lui avait fait comprendre que ses minutes étaient comptées alors... autant lui balancer son idée à la tronche tout de suite ?

(Anglais) Prends la place de Felix.

Est-ce qu'il venait de lui donner un ordre ? Euh plus ou moins. En tout cas l'idée était lancée. Et il fallait espérer que Nick l'accepte. Après tout, nul doute qu'il serait heureux de ne plus entendre parler des Carrows une fois qu'il aurait quitté Poudlard.

Lundi 4 Janvier 2134

Jamy

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Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Lui accorder 5 minutes c’est bien trop généreux de ma part. Une c’est déjà trop pour moi, mais je suis trop curieux pour le laisser filer avec une info sur Léonie. Car même si je ne me comporte pas comme tel depuis quelques temps, je suis son meilleur ami, et je me dois de la protéger de ce rapace. Elle est ma seule famille, mon seul repère, alors je suis prêt à tout pour la protéger.

« L'affaire sera bouclée en cinq minutes t'inquiètes. Ton rencard t'attendra. »
« Tu dis ça à toutes ces malheureuse filles qui tombent dans tes bras… Non ?» Disais-je avec une pointe de malice dans le regard.

Je me retiens de rire, mais intérieurement je jubile. Connor attendra un peu ce n’est pas grave car je vais prendre un malin plaisir à faire disparaître ce sourire suffisant de son visage d’ange. Bordel comment j’ai fait pour craquer pour cette tête à claque…

« Je repense au mariage de mon charmant frère et de ta meilleure amie. Je suppose qu'aux réunions de famille tu n'as pas envie de voir ma gueule. Alors j'ai... eu une petite solution. Et tu es ma solution. »

Sujet sensible, savoir que Léonie allait être lié à cette famille me sort de mes gonds. Je n’ai rien contre Félix, au contraire, je l’aime beaucoup. Ce qui me fait vriller c’est de savoir que Léo soit de la même famille que cet abruti en face de moi, alors si je peux la sortir de ce merdier, je le ferais. Même si pour ça, je risque de prendre quelques coups.

« Prends la place de Felix. »

Je croise les bras contre mon torse en levant un sourcil. Pour qui ce prend t-il à m’ordonner une chose à laquelle j’ai déjà pensée ? Je ne supporte pas son côté dictateur mais si il peut m’aider à atteindre cet objectif alors je vais prendre sur moi, difficilement, pour le bien de Léonie. Je préfère la voir porter mon nom que le nom de cette famille…

« Crois le ou non, j’y ai pensé. Mais je ne vois pas comment y arriver. » Soufflais-je doucement en portant mon regard sur le liserais de lumière qui perce sous la porte de la bibliothèque. « Tu sais comment faire ? »

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IL EST TEMPS D'ENTERRER LA HACHE DE GUERRE, POUR LE BIEN DE NOTRE ROUQUINE

Nicholas : (...)

Hawke préfère ne pas relever cette remarque. Un "Tu voudrais essayer" serait vachement tentant, mais même si Nick a une belle gueule, il ne pourrait jamais coucher avec lui, ou tout autre homme d'ailleurs. Les femmes, c'est beaucoup mieux. Et puis d'ailleurs Nick aime aussi les femmes aux dernières nouvelles. N'avait-il pas eu une copine récemment ? Enfin il y avait déjà beaucoup de mois qui s'étaient écoulés depuis mais Jasper était certain de l'avoir déjà vu avec une fille au bras, autre que Léonie bien sûr.

Nicholas : (...)

Alors là. Cette révélation choque légèrement le Carrow. Il ne s'attendait pas à ce que le Greengrass puisse avoir les mêmes pensées tordues que lui. Enfin, vous me direz, vu ce qu'il y a eu entre eux, nul doute que le meilleur ami de son ex copine soit du même avis que lui pour que Léonie n'est plus à se coltiner sa tête lors des réunions de famille non ?

Nicholas : (...)

Hawke s'éloigne un peu de Nick et perd aussitôt son sourire. Alors là, il n'en a aucune idée. Et sa tête le prouve. D'ailleurs, il se passe une main dans le cheveux et pousse un long et profond soupir. Comment faire ?

(Anglais) Aucune idée. Il faudrait trouver quelqu'un qui soit... assez proche des Pozhiratelis, de quelqu'un d'assez influant et qui pourrait nous permettre de rencontrer les personnes qui organisent ces mariages à la con. On peut éventuellement en toucher deux mots au professeur de Potions non ? Lancaster. Jsuis sûr que toi le petit prodige il te kiffe et acceptera de te parler de ce type de sujet sensible ! Même si on l'a jamais eu en tant que prof, jsuis sûr qu'il connait ton nom.

Ah ben voilà, il venait peut-être de la trouver la solution ? Enfin il ne savait pas trop en réalité. Mais Hawke était sûr d'une chose : Lancaster était un Pozhiratelis, et ça ne faisait aucun doute vu que ses cours étaient donnés en Bulgare. Jasper avait déjà entendu des Serpentards se plaindre de lui.

Lundi 4 Janvier 2134

Jamy

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Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Je me demande ce qu’il peut bien manigancer dans son petit esprit tordu. J’ai envie de sauver Léo de cette famille de tordus, je ferais tout pour qu’elle ne porte jamais ce nom de famille, quitte à me sacrifier pour elle. Quitte aussi à risquer de perdre son amitié. Je crois mes bras sur ma poitrine en observant le serpent, lui demandant de m’expliquer son plan. Et j’espère qu’il va se bouger car je n’ai pas la nuit devant moi. Fin si, je l’ai mais j’aimerais la passer avec une autre personne…

« Aucune idée. Il faudrait trouver quelqu'un qui soit... assez proche des Pozhiratelis, de quelqu'un d'assez influant et qui pourrait nous permettre de rencontrer les personnes qui organisent ces mariages à la con. On peut éventuellement en toucher deux mots au professeur de Potions non ? Lancaster. Jsuis sûr que toi le petit prodige il te kiffe et acceptera de te parler de ce type de sujet sensible ! Même si on l'a jamais eu en tant que prof, jsuis sûr qu'il connait ton nom. » Lancaster ? Oui il est proche de mon père, il connaît très bien mon nom, alors c’est hors de question pour moi de l’approcher sans finir six pieds sous terre. Il y a une autre personne qui pourrait faire l’affaire mais je n’ai clairement pas envie de l’impliquer la dedans. D’une car il a sûrement autre chose a faire que de s’occuper de notre plan et de deux, je l’ai tellement chamboulé avant les vacances qu’il va sûrement me foutre son poing dans la gueule quand j’aurais enfin passé cette fichue porte de bibliothèque. « Bien que je sois doué, je suis le petit protégé de la directrice, pas de Lancaster. Ce mec risque de me tuer si je m’approche de lui. » Je n’en dis pas plus, car ma vie privé ne le regarde pas.

« Écoute, je vais réfléchir à ton plan car il y a du potentiel, tes cinq minutes sont passées. Je vais donc aller réviser. » Je me redresse et lui fait face avec un sourire hypocrite au possible. « Bonne soirée Carrow. » Disais-je avant de partir vers la porte de la bibliothèque pour rejoindre Connor. Il va me détester j’en suis sur. Non seulement je lui fais perdre la boule avant qu’il ne parte, mais en plus, je le fais poireauter à cause de ce boulet. Je réfléchirais à son plan demain matin, j’irais sûrement voir Ethan… Ce père que je n’ai jamais eu et que j’évite depuis notre affrontement...J’espère qu’il pourra me guider pour sauver sa fille des griffes de cette famille.

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Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine
Lundi 4 Janvier 2134

Nicholas : (...)

Rho merde. Le seul Pozhiratelis plutôt gentil de cet établissement n'a pas Nick dans la poche. Bon. Hawke pourra toujours trouver quelqu'un d'autre. Après tout, la moitié de sa famille est Pozhiratelis et si ses souvenirs sont bons, les Marloes ont plutôt un beau rang parmi eux alors... il pourrait peut-être entrer en contact avec l'un de ses cousins pour tenter de mettre ce plan à exécution.

Nicholas : (...)

(Anglais) A cette heure ? Ma parole t'es givré toi. Enfin bref. Trouves lui quelqu'un et je me charge de trouver le Pozhiratelis. On en reparle. Et oublies pas de coller l'abruti qui est encore dedans et pas dans sa salle commune.

Jasper tourne les talons et part dans les couloirs, prêt à continuer sa ronde avant de regagner la salle commune. Ou peut-être qu'il ira faire un petit tour dehors, histoire de trouver lequel de ses cousins serait capable de l'aider. L'air frais l'aide à trouver de bonnes idées. Et puis il n'a pas encore envie de dormir donc autant s'occuper la cervelle avec... tout sauf des révisions ou des devoirs.

Il lui avait dit de venir. Alors sagement Daniel l'avait attendu. Nez dans un livre, le soir avait été dur et... le pauvre Connor s'était endormit sur le livre qu'il était entrain de lire. Plume dans une main qui laissait une tâche d'encre sur le parchemin, joue écrasée sur le livre de potions, le Dragsa ressemble à un gros bébé ainsi. Heureusement le filet de bave ne vient pas salir l'écriture du livre... Et puis ça casserait l'image qu'il renvoie à l'heure actuelle. Qui ne craquerait pas en le voyant ?
S'il entend les pas dans la Bibliothèque ? Non. Clairement il dort profondément. Même Peeves ne serait pas capable de le réveiller ! Enfin si il ne faut pas abuser, quand même. Mais bon, pour le moment les pas sont trop loin pour lui permettre de les entendre et donc d'ouvrir les yeux pour reprendre contact avec la réalité. Clairement ses rêves sont plus intéressants pour le moment. A quoi pense-t-il ? Cette dernière rencontre avec le Serdaigle. Et sa discussion avec Demetria.

Loukoum

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Loukoum

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« A cette heure ? Ma parole t'es givré toi. Enfin bref. Trouves lui quelqu'un et je me charge de trouver le Pozhiratelis. On en reparle. Et oublies pas de coller l'abruti qui est encore dedans et pas dans sa salle commune. » Je me retiens tant bien que mal de me retourner pour lui en mettre une ou pour lui présenter mon majeur. C’est lui que j’aimerais coller à vie, et lui en coller une au passage. Je soupire un coup et entre dans la pièce en regardant bien derrière moi que cet abruti ne me suit pas. Manquerais plus que ce boulet sache mon secret. Là, je serais vraiment dans la merde, et je ne parle pas de Connor…

Une fois la voie libre et vérifiée, je me dirige vers la seule table éclairée de la pièce. Je sais que ça ne peut-être que lui car normalement, tout le monde est dans les dortoirs. Du moins, j’espère que ce soit lui, si ça se trouve, il n’a pas voulu répondre positivement à ce rendez-vous nocturne. Je comprendrais, car je l’ai quand même laissé seul face à ses doutes après l’avoir embrassé. Je suis vraiment un abruti pas fini… Si ça se trouve, il va m’en foutre une ce soir, et il va me dire de ne plus l’approcher. Je m’arrête un instant dans l’allée, en proie face au doute de ce rendez-vous. Puis je secoue la tête avant de reprendre mon chemin entre les allées dessertes de la bibliothèque. J’aime l’ambiance calme de la pièce quand elle est desserte, c’est apaisant. Et c’est vrai que je profite du privilège d’être préfet pour venir ici tard le soir pour réviser. Hawke a peut-être raison, je suis vraiment givré…

Le tableau qui se dresse devant moi, quand j’arrive à la table de Connor, est la chose la plus mignonne que j’ai vue à ce jour. Connor qui dort paisiblement sur son livre, plume à la main, les traits de son visage reposés. Je m’en veux un peu pour le coup, il doit m’attendre depuis longtemps vu le parchemin noirci par son écriture. Satané Carrow… Doucement, je tire la chaise à côté de lui, puis m’y installe tout en l’observant tendrement. J’ai envie de le réveiller, de lui parler, mais d’un autre côté, je veux le laissé dormir tant il est adorable… Je glisse doucement ma main dans son dos pour le réveiller en douceur, pour ne pas le brusquer. « Connor… Connor… C’est Nick… » Soupirais-je en glissant ma main de haut en bas dans son dos. « Désolé pour le retard… »

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Tu as détruit mes vacances mais...

Lundi 4 Janvier 2134

Sa respiration est stable. Clairement il n'est pas dans la meilleure position pour dormir mais c'est agréable tout de même. Et puis il est tellement fatigué de ces vacances affreuses à repenser tout le temps à ce qu'il s'était passé avant son départ qu'être ici le rassurait un peu. A moins que ça ne soit le mot qu'il ait eu ce matin qui l'ait un peu rassuré ? Daniel était perdu. Clairement. Ce qui se passait avec Nicholas était... trop perturbant pour son esprit aussi simple et fermé. Certes Demetria voulait l'aider, elle avait tenté de lui faire ouvrir les yeux. Mais c'était compliqué. Vous savez, Connor est buté et borné. Il vit en suivant des règles depuis qu'il est né. Il vit pour épouser une femme, fonder une famille, devenir Pozhiratelis, obtenir un gros poste et reprendre la direction de la famille. C'est ça être un Dragsa.

Nicholas : (...) (...)

Le jeune garçon ne sent pas cette main dans son dos. Il entend que faiblement la voix qui lui parvient jusqu'aux oreilles. Il a l'impression de rêver, encore.
Il ouvre alors un œil, puis le second et se redresse doucement en frottant ses yeux. La lumière est forte et il distingue à peine la silhouette qui se tient à ses côtés.

Hum ?

Il se frotte doucement la joue puis observe sa plume, qu'il laisse tomber sur ce parchemin foutu en poussant un soupir. Puis son regard se pose sur Nick qui se tient face à lui et... le rouge ne tarde pas à lui monter aux joues. Un regard à droite. Un autre à gauche. Personne. A cet instant précis, il rêverait de s'emparer des lèvres du Serdaigle. Mais il ne le fait pas. Allez savoir pourquoi. Peut-être ces règles, encore.

(Anglais avec un faible accent) Oh, Nick. Euh... pas de soucis. Je révisais. Avant de... sombrer. Les potions... c'est pas mon fort. A Durmstrang elles sont couplées avec ce que vous appelez Botanique ici alors j'avoue que... ça me sauve un peu.

Il offre un petit sourire au Préfet avant de se tourner légèrement pour lui faire réellement face.

(Anglais avec un faible accent) Tu... je... Euh...

Difficile d'entrer en communication, notamment après ce qu'il s'était passé entre eux deux. Et puis... clairement ce n'est pas simple pour Daniel de parler de... ces choses qui sortent du cadre dans lequel il grandit. Peut-être que ces yeux vont le trahir ? Il faut l'espérer. Parce que ses lèvres ne laisseront pas les mots passer.

Loukoum

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It's the time that you totally screwed up,

Still you're trying to get it out your brain. It's the fight you had when you didn't make up, It's the past that you're dying to change.

Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Quand je l’ai vu dans cette position, si paisible, si serein, je n’ai pas voulu le réveiller. Je sais qu’il a dû vivre des vacances assez éprouvantes par ma faute. L’embrasser juste avant son départ ne fut pas ma meilleure idée, je le concède, mais je ne voulais pas le laisser filer avec ce doute qui me ronge depuis des semaines. Ce rapprochement entre nous a eu raison de mon bon sens. Et j’ai craqué, totalement. J’ai passé mes vacances à m’insulter d’imbécile pour mon geste. Et pourtant, je ne regrette rien. Je peux encore sentir la douce chaleur de ses lèvres contre les miennes. Même si son geste fut bref. Assis sur ma chaise, je réveille doucement le beau bulgare à contre-coeur. Mais j’ai ce besoin égoïste de plonger mon regard dans le sien. D’entendre sa voix aussi. Cette voix qui me fait voler vers des cieux paradisiaques.

-Hum ?

Je le laisse doucement se réveiller, un petit sourire aux lèvres. J’en profite pour clairement le reluquer. Quelque chose à changé chez lui, je ne sais pas quoi mais il m’attire encore plus que d’habitude. Ou alors est-ce le manque qui me provoque ce sentiment ? En tout cas, je n’ai qu’une envie c’est de l’embrasser à nouveau, mais je me contrôle du mieux que je puisse. Je ne veux pas recréer un choc émotionnel à mon ami. Car clairement, quand je l’ai laissé au lac, j’ai senti que son cerveau avait eu un bug quand nos lèvres se sont rencontrées.

-Oh, Nick. Euh... pas de soucis. Je révisais. Avant de... sombrer. Les potions... c'est pas mon fort. A Durmstrang elles sont couplées avec ce que vous appelez Botanique ici alors j'avoue que... ça me sauve un peu.

Un petit rire m’échappe. C’est un peu a cause de cette matière que nous nous sommes rapprochés, et le voir s’accrocher à ça, afin de réussir, me fait un peu plus craquer.

-Tu sais que je peux continuer à t’aider, à moins que tu ne souhaites plus entretenir notre amitié… Je comprendrais tu sais.

Ca me tuerais aussi mais, je serais compréhensif. Je ne suis qu’un ado qui a les hormones en feu, et Connor attise ce feu sans le savoir. Surtout avec ce petit sourire… Je lui céderais tout, même ma propre mère, c’est pour dire.

-Tu... je... Euh…
-Je voulais m’excuser pour la dernière fois… Tu sais au lac.

Ce simple souvenir color mes joues en roses. J’ai beau jouer les mecs sur de lui, il n’en est rien. Je suis plus fragile que l’homme en face de moi. Il lui suffit de me souffler dessus pour me briser en mille morceaux.

-C’était stupide de ma part.

Stupide oui, mais je ne regrette pas mon geste pour autant. Ce feu d’artifice qui a explosé au moment où j'ai capturé ses lèvres, je ne peux pas l’oublier. Je n’ai jamais ressenti cette puissance, ce sentiment de plénitude, cette sécurité. Et au fond de moi, je sens qu’un nouveau sentiment grandit, et il m'effraie autant qu’il m’attire. Je crois que je tombe sous son charme...

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HRP:

Tu as détruit mes vacances mais...

Lundi 4 Janvier 2134

Nicholas : (...)

Daniel ne répond pas tout de suite. Il a déjà mis fin à une amitié à cause d'un baiser. Enfin avec Sasha c'était différent. C'était son meilleur ami - enfin ex - et se faire embrasser par ce garçon qu'il connaissait tellement... ça ne lui avait pas plu. Alors certes ça lui avait fait comprendre que... finalement les femmes n'étaient pas faites pour lui. Mais ça lui avait aussi fait flipper. Ce qui n'était pas le cas avec cet Anglais. Quand Nicholas s'était emparé de ses lèvres... ça lui avait fait du bien. Et lui avait grandement plu. Peut-être parce qu'il était loin de Durmstrang ? Loin de ces yeux qui pourraient l'observer ? Connor ne savait pas trop. Mais il y avait quelque chose chez cet anglais qui lui plaisait grandement. Mais impossible de dire quoi.

Nicholas : (...) (...)

Stupide ? Oui. Ils ne se connaissaient pas assez. Mais le Dragsa n'aurait pas eu envie de plus le connaître... il n'aurait pas répondu à ce message. Enfin il n'aurait pas attendu ici que le préfet se ramène. Il serait parti se coucher et l'aurait ignoré pour les deux mois à venir. Comme il le faisait avec Sasha. Mais non. Il avait posé son cul ici, s'était mis à réviser ces fichues potions et... voilà qu'il se retrouvait face au Serdaigle. A ne pas savoir quoi dire, quoi faire. Il était totalement perdu. Mais il le sentait : son coeur qui avait envie de s'échapper de sa poitrine. De ses lèvres qui avaient envie de re gouter à celle du Greengrass. Et c'était tellement perturbant...

(Anglais avec un faible accent) Euh... Je veux bien que tu continues à m'aider. Tu es le meilleur de la classe. Et je ne veux pas que quelqu'un d'autre m'aide.

Mais quel con. Pourquoi vient-il de dire cette dernière phrase ? Il n'en a aucune idée. Mais trop tard, c'est dit. Ca lui apprendra à le pas réfléchir avant de parler. Mais... étrangement avec Nick il n'a pas envie de réfléchir. Il a envie... d'être lui ? Quoique, est-ce qu'il l'est vraiment ? Il n'a jamais appris à penser tout seul... alors c'est tellement perturbant. De faire face à ces sentiments qui sont entrain de s'emparer de lui alors que son regard se pose dans celui du Préfet assit face à lui. Il a envie de lui prendre les mains mais il ne bouge pas. Au moins son corps ne fait pas de faux pas.

Loukoum

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Still you're trying to get it out your brain. It's the fight you had when you didn't make up, It's the past that you're dying to change.

Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

Oui c’était stupide de ma part de l’embrasser de la sorte surtout dans un lieu publique. On aurait pu nous voir, on aurait pu avoir de gros soucis. Et pourtant, je ne regrette pas. Je serais même prêt à revenir dans le temps pour recommencer encore et encore. Retrouver la saveur de ses lèvres, leurs douceurs, sa peau rugueuse due à une barbe qui repousse doucement. J’ai envie de retrouver ces sensations mais je sais que ça n’arrivera plus. Car Connor n’est pas comme moi… Je l’ai juste perturbé, rien de plus. Lui c’est un jeune homme d’une bonne famille, son destin est de finir marié avec une fille de son rang. Qui tomberait sous le charme d’un déserteur qui plus est attiré par les hommes ?

- Fait voir ce que tu révises alors.

Je m’approche un peu plus de lui pour récupérer son livre. Je lui lance un sourire timide avant de lire la potion inscrite sur le papier.

- Tu n’as pas encore le niveau pour ça tu sais… Même moi je ne serais pas capable de la réaliser seule. Il faudrait commencer par les bases et avancer doucement. Avec un peu de chance, tu auras un bon niveau quand tu rentreras.

Nouveau sourire timide puis je déboutonne les manches de ma chemise pour les retrousser sur mes avant-bras. J’attrape ensuite un parchemin et une plume pour noter quelques potions basiques mais importantes pour commencer.

- Commence par apprendre celle-là par coeur, et la prochaine fois on verra les dérivés et leurs utilités.

Ma voix n’est qu’un murmure car je me rends compte de ma proximité avec lui. Je peux sentir son souffle sur mes lèvres, ses yeux plantés dans les miens, nos bras qui se frôlent. Non reprend toi Nick, tu es là pour lui apprendre les potions. Même si l’embrasser là, maintenant, serait plus que fortement agréable.

- Et si tu as besoin… Je serais là…

Nouveau souffle, mon regard est hypnotisé par le sien. Je m’y perds comme la première fois. Comme au lac, et je me retiens de sauter une nouvelle fois à son cou. Je m’étonne moi-même de mon self control. Alors je reste là, mon regard dans le sien, son souffle contre le mien, et mon irrésistible envie de capturer ses lèvres pour ne plus jamais les lâcher.

Codage par Libella sur Graphiorum

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It'll be okay

Are we gonna make it? Is this gonna hurt? Oh, we can try to sedate it But that never works Yeah I start to imagine a world where we don't collide It's making me sick, but we'll heal and the sun will rise

Tu as détruit mes vacances mais...

Lundi 4 Janvier 2134

Nicholas : (...)

Un petit sourire étire les lèvres de Daniel alors que Nicholas se rapproche de lui. Pour l'aider, bien sûr. Et savoir qu'il va lui apporter de l'aide lui fait plaisir. Que ce qui s'est passé sur les bords du lac avant les vacances ne vient pas tout gâcher. Parce que Connor n'apprécierait pas de perdre une nouvelle personne dans son cercle d'amis. Parce que Nick est devenu un ami n'est-ce pas ? Et ils sont tellement rare autour du Dragsa que... il ne peut pas cracher sur cette amitié.

Nicholas : (...)

(Anglais) Oh... euh d'accord.

Rougissant légèrement, le Bulgare se gratte l'arrière du crâne. Ridicule. De tenter quelque chose qui lui est impossible de comprendre. Ou alors Nick sait qu'elle est de son niveau mais qu'il n'arriverait pas à la réaliser et le préserve de cette manière ? Difficile à dire. En tout cas, une chose est sûre, il se sent mal à l'aise de tenter d'apprendre de nouvelles choses alors qu'il maîtrise déjà peu les bases en potion.

Nicholas : (...)

(Anglais) D'accord, merci.

Tournant la tête vers le Serdaigle, le Voda se sent étrangement proche de lui. Vraiment trop. Bien trop... Et pourtant il ne recule pas. Alors que son regard bleu se plante dans celui du garçon qui lui fait face. Déglutissant avec difficultés il tente de ne pas quitter son regard, de ne pas venir observer ces lèvres dont il a envie de s'emparer.

Nicholas : (...)

Il sera là... uniquement pour les potions ? Ou dans n'importe quelle situation ? Aucune idée. Mais étrangement Daniel se son coeur s'accélérer dans sa poitrine. Ca ne lui plaît pas. Ces mains moites, la légère goutte de sueur qu'il a l'impression de sentir couler le long de sa tempe droite, son souffle qui se mélange à celui du Serdaigle...
Et puis son corps se décide à faire l'impensable. Penchant légèrement la tête sur le côté pour éviter que son nez ne vienne s'écraser sur celui de Nick, ses lèvres viennent se coller à celles de l'anglais. Il sait qu'ici, à cette heure, personne ne viendra les déranger, voir ce qui est entrain de se passer. Et c'est rassurant. Vraiment. Tout comme le feu qui est entrain de parcourir son ventre. Une douce chaleur qui lui fait du bien.
Doucement ses lèvres se détachent de celles de l'Anglais. Un baiser beaucoup plus appréciable que celui d'il y a deux semaines. Parce qu'il y répond. Positivement. Parce que... cette fois il se sent prêt ? Ou alors simplement en sécurité.

Loukoum

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Loukoum

Il est temps d'enterrer la hache de guerre, pour le bien de notre rouquine

C’est donc ça ? Le cœur qui bat la chamade quand mon regard croise le sien, mes mains qui deviennent moites à l’idée de lui tenir la main ou de le toucher, ne penser qu’à lui, ses lèvres, son sourire, son regard… C’est donc ça tomber amoureux ? J’ai l’impression de voler mais aussi de chuter dans un gouffre sans fond. Mon cœur est parti tel un vif d’or au début d’un match, volant à toute vitesse et dans des trajectoires tellement aléatoires. Je ne sais pas si ce rendez-vous nocturne est une bonne idée, surtout après notre dernier tête à tête. Mais maintenant que je suis à côté de lui, je me sens plus léger, plus serein ironiquement.

J’observe son regard, les émotions qu'il traverse, ses doutes, ses peurs. Tout ce que je peux décrypter, je m’en imprègne, pour savoir lire son regard comme un livre ouvert. Puis le lâcher prise, la douceur de ses lèvres contre les miennes, son souffle chaud contre ma joue. Mes yeux se ferment, profitant de cet élan de courage que Connor fait preuve en m’embrassant là, au beau milieu de cette bibliothèque vide. Une envolée de papillons parcourt mon estomac. Créant une douce sensation. Un sourire m’échappe quand ses lèvres s’évadent. Leur manque se fait bien trop vite ressentir à mon goût. Et je n’ai qu’une envie c’est de replonger.

- Je… Je ne m’attendais pas à ça. Disais-je en passant une main sur sa joue. Arrête moi si je vais trop loin…

Sans attendre de réponse, doucement, je capture ses lèvres tendrement, caressant sa joue de mon pouce. La chaleur qui m'envahit est enivrante, elle m’apaise, me fait perdre pied aussi. J’aime les sensations qu’il me procure, j’aime ressentir chaque palpitation de mon cœur quand je le regarde, le touche ou l’embrasse. Je sais qu’après ce moment, je serais un homme perdu. Je passerais mon temps à repenser à lui, à son parfum, à ses lèvres. Oui, je suis un homme mort. Et si mourir c’est être prêt de lui pour le reste de ma vie, je suis prêt à me jeter de la tour d’astronomie de suite.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Allez, go te jeter du haut de la tour d'astronomie *ok je sors*

Il est temps de clôturer =°
Je vais demander à verrouiller.

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