(charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany
Charlie Guérin
Chapeau de l'équipe des Canons de Chudley
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Ϟ Sorcier depuis le : 07/02/2019 Ϟ Âge : 27 Ϟ Hiboux envoyés : 2866 Ϟ Points d'Implication : 568929 Ϟ Double moldu : dylan o'brien Ϟ Date de naissance : 08/07/1997
Sujet: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Dim 16 Avr - 15:30
mercredi 3 août 2135 une maison rue Klostergatan, Lund, Suède
mission retrouver Ludmila la vilaine
Soixante-dix-neuf jours que Ludmila avait disparu. Jusqu'ici je ne comptais pas mais je m'étais retrouvé hier dans un avion sans occupation intéressante. Trente-huit jours que j’étais lancé à sa recherche. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point on s’emmerde dans les transports en commun moldu. Vingt-sept jours depuis le premier courrier étrange. Qui a dit que j’étais sain d’esprit ? Une journée en Suède et j’avais déjà envie de rentrer en France. Enfin, je ne m’étais pas tapé deux heures trente d’avion, un transplanage hasardeux et une nuit merdique dans un hôtel horrible pour ne pas repartir sans l’espagnole. Je sentais que je touchais au but de cette longue quête éreintante, plaignez-moi c’est le moment, il ne me restait plus qu’à trouver cette satané adresse. Je devais l’admettre, merci internet, merci les moldus. Cela étant dit, jamais plus je ne prononcerais ces mots.
Mes premières recherches avaient été infructueuses. Mise à part faire chier un Pozhiratelis avant son procès et me tourner les pouces en réfléchissant à une autre méthode, je n’avais pas beaucoup avancé. Deux semaines après mon départ de Beauxbâtons j'étais aussi proche de retrouver Ludmila que de devenir sympa. C'est dire. Puis j’avais reçu une lettre curieuse avec la première page du journal municipal de Lund, ville en Suède. Cela avait vaguement attisé ma curiosité jusqu'à la réception de deux autres courriers identiques, sauf en ce qui concernait la date de la une. N'étant pas complètement idiot j’avais commencé à me demander si cela ne pouvait pas être un coup de pouce de Ludmila. Comme si je traînais dans mon enquête, cette fille n’était jamais contente. Une recherche rapide avec l’ordinateur des parents m’avait informée qu’il s’agissait d’une ville certes moyenne mais, trop grande pour frapper à toutes les portes. Fort heureusement l’espagnole avait encore des indices dans sa besace. Une publicité pour le don à la cathédrale de la ville et une brochure pour le Love Coffee de Lund me permirent de réduire la zone d’exploration à un simple quartier. Que demander de plus ? Cela me faisait chier de le dire mais sans ces courriers je n’aurais jamais été aussi proche de la retrouver. Dans le genre chevalier servant je n’étais pas vraiment efficace, et c’était la jouvencelle en détresse qui avait fait le plus gros du travail. En espérant qu’elle n’arrive pas aux mêmes conclusions que moi sinon j’allais en entendre parler pendant un moment. En espérant surtout que je n’avais pas fait totalement fausse route ou qu’il ne s’agisse pas d’un canular.
La journée passée rue Klostergatan fut longue mais, comme je comptais m’introduire par effraction dans les maisons je n’avais pas d’autres choix que d’attendre la nuit et d’observer en attendant les allées et venues. Cette analyse du terrain me permit de repérer les maisons dans lesquels il n’y avait eu aucun mouvement. Autant commencer par-là, je risquais moins de tomber sur un moldu à l’intérieur qui prendrait peur en me voyant. Non pas que je sois effrayant, mais je n’avais rien à faire chez des inconnus la nuit aussi charmant soit mon visage. Malheureusement, je ne connaissais pas le visage du corbeau de Ludmila, sinon j’aurais pu essayer de le repérer dans la rue. Quoi que je préférais qu’il ne soit pas dans le coin pour rendre la tâche plus facile. La nuit tomba enfin. Ma première visite de maison fut un échec car j’entendis des voix dans une langue que je ne connaissais pas mais que j’avais entendu toute la journée. Il y avait des enfants parmi eux. Le corbeau était peut-être suédois mais cela me paraissait étrange de garder quelqu’un captif dans sa maison familiale. Dans le doute je reviendrais plus tard. La deuxième maison était vide, pareil pour la troisième. En m’introduisant dans la quatrième j’entendis une alarme. Est-ce que les policiers allaient se ramener ? Je tentai ma chance avec une cinquième maison et je quitterais la rue avant de me faire prendre. À l’intérieur de celle-ci pas d’alarme et pas de voix. Le rez-de-chaussée était vide mais une porte était close. En actionnant la poignée je compris qu’elle était verrouillée. Ma baguette toujours en main je prononçais une énième fois le sortilège de déverrouillage puis j’ouvris la porte en chuchotant.
« Cabestany ? »
Pando
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J. Ludmila Cabestany
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Mar 30 Mai - 22:54
OOTD Depuis combien de jours Jewel était prisonnière de cet endroit ? Elle ne savait pas tellement. Elle avait perdu le compte. Seul le journal lui permettait d'avoir un contact avec le monde extérieur, le monde moldu. Mais malheureusement elle n'y comprenait absolument rien à cette langue qui était parlée ici. Elle était incapable de lire les nouvelles. Seule la date lui était lisible. Mais ça s'arrêtait là.
Comment s'était-elle retrouvée dans cette situation ? Par vengeance. C'était entièrement de sa faute si elle avait décidé de se lancer dans cette aventure. De draguer cet homme marié, Pozhiratelis, pour pouvoir s'approcher de lui et les faire tomber de l'intérieur. Se faire passer pour plus vieille qu'elle ne l'était. Mais malheureusement, tout ça c'était retourné contre elle. Lorsque le mouvement avait chuté, Ludmila ne s'était pas doutée qu'il viendrait la trouver dans cette ville proche de Beauxbatons, Boisjoli. Et qu'il l'emmènerait avec elle. Loin, dans un pays qu'elle ne connaissait pas.
Chaque jour, l'étudiante se disait qu'elle avait de la chance. Au moins, parce qu'elle avait réussi à gagner son coeur, elle était encore en vie à l'heure actuelle. Elle n'était pas morte parce qu'elle l'avait trompé. Alors elle répondait aux moindres désirs de son ravisseur. Le seul moyen de pouvoir tenir en vie. Et, s'il pensait qu'elle restait bien sagement à la maison quand il sortait, il se trompait. Elle avait repéré un groupe de pigeon qui venait régulièrement près de la seule fenêtre qui n'avait pas été scellée par un sort. Alors elle les appâtait avec des morceaux de pain ou de biscuit et leur attachait des mots aux pieds. En espérant qu'ils trouvent leur chemin jusqu'à l'adresse qu'elle leur murmurait sans cesse à l'oreille : celle de Charlie Guérin. C'était le seul qui était au courant de sa situation avec ce Pozhiratelis, ce qu'elle avait fait, alors il n'y avait que lui qui pourrait lui venir ne aide.
Son petit manège mit énormément de temps à fonctionner... malheureusement. Mais, un jour, alors qu'elle attendait patiemment dans la chambre que le Pozhiratelis rentre, quelque chose d'impensable se produisit.
Charlie : (...)
Se redressant à vive allure, la jeune fille comprit que ce n'était pas son geolier qui était rentré. Pas encore. Soit elle rêvait, soit Charlie était bel et bien ici. Alors elle descendit les marches de la maison et se jeta dans les bras de son sauveur, profitant de ce contact. Charlie... il était bel et bien là. Ce petit con de Renard avait réussi à la retrouver. Et les larmes ne tardèrent pas à perler sur les joues de la Féline. Et puis elle se défit de lui et observa la porte avant de se mettre à paniquer.
(Français) Il y a des sorts de détection, il faut se dépêcher...
Pas le temps pour de belles retrouvailles. Mais, si Ludmila n'avait pas d'affaires à prendre, elle avait tout de même un objet important à récupérer.
(Français) Ma baguette... Tu peux ouvrir le coffre à l'étage s'il te plaît ?
Sa précieuse baguette dont elle avait été privée, enfermée dans un coffre qu'elle ne pouvait ouvrir. Privée de magie, Jewel était une pauvre petite gamine. Et elle n'aimait pas cette situation. Et, alors qu'elle mettait un de ses pieds nu sur l'escalier, elle s'arrêta et se retourna vers le jeune homme.
(Français) Attends... C'est bien toi n'est-ce pas ? Tu... tu n'es pas... lui sous polynectar ?
Parce que si c'était un piège, elle venait de tomber dedans.
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Dim 18 Juin - 10:55
mercredi 3 août 2135 une maison rue Klostergatan, Lund, Suède
mission retrouver Ludmila la vilaine
Résumons la situation, Ludmilla, disparition, corbeau, avion, Suède, maisons, porte fermée. Je vous laisse faire des liens entre les différents mots, ce n’est pas comme si j’avais le temps de tout réexpliquer depuis le début. En ouvrant la porte et en chuchotant le nom de Ludmila, je me demandais si toute cette histoire n’était pas une farce. Ou peut-être que la situation était trop complexe pour une seule personne, aussi brillant que je puisse être. Il me venait à l’esprit seulement maintenant que j’aurais peut-être dû faire appel aux autorités compétentes. Quoi que compétente était un bien grand mot, puisqu’ils n’avaient pas été fichu de retrouver l’étudiante disparue. Enfin, ils leur manquaient peut-être les indices que j’avais reçus. Prions que l’autre ne se plaigne pas si je me révélais être son sauveur retardataire.
La porte menait sur des escaliers, trop bizarres les architectes suédois, ainsi que sur une masse lourde et volumineuse qui se jeta dans mes bras. Cabestany. Enfin, ce n’était pas trop tôt. Je profitais de l’étreinte pour la serrer à mon tour avec mes bras. Je devais l’admettre, j’étais rassuré de la retrouver vivante et suffisamment en forme pour me briser les côtes. Je fis comme si je ne voyais pas les larmes sur son visage, j’avais l’habitude, ma beauté provoquait toujours un choc. De toute manière, elle ne me laissa pas le temps de réagir d’une quelconque manière, son expression passait déjà à de la panique. Était-elle devenue folle à changer aussi rapidement d’humeur ? Ou alors la mission exfiltration n’allait pas être de tout repos. À l’aide !
Des sorts de détection. Cela faisait sens, j’aurais dû m’en douter. Nous avions passé suffisamment de temps dans cette baraque, il valait mieux se barrer immédiatement. Je ne tenais absolument pas à découvrir le visage de son corbeau, tant pis pour les présentations. Non vraiment, il n’y avait que cette fille pour me plonger dans une merde monumentale. Je lui saisis la main pour la mener vers la porte d’entrée. Il y avait certainement en plus des sortilèges de détections d’autres qui empêchaient de transplaner entre ses murs. Sauf que Ludmila restait solide sur ses appuis. Sa baguette ? A l’étage ? Mais bien sûr comme si on avait le temps d’aller la récupérer. Et si le coffre en question était fait à la mode gobelin. Monter la récupérer était de la pure folie alors que nous étions pressés par le temps. Très peu pour moi. Elle commençait tout de même à se diriger vers les marches avant de me demander si j’étais bien moi. Bien sûr que oui. Je ne voyais pas comment ce type aurait pu entendre parler de moi sauf, si elle lui avait révélé le pot aux roses. Quoi qu’on pouvait dire pleins de choses sous polynectar. Dans tous les cas, nous n’avions pas le temps pour une partie de question réponse.
« Je suis bien moi. Et, nous n’avons pas le temps. Tu me poseras toutes tes questions quand on se sera barré d’ici. Je ne veux pas me faire trucider dans cette ville de ploucs. »
Je tirais un peu plus sur sa main. S'il vous plaît, faite qu’elle me suive.
« Puis au pire si je suis l’autre corbeau ça te permettra de visiter un autre endroit que cette maison bizarre. »
Je n’ai jamais prétendu être doué pour rassurer les gens. Surtout dans une situation où le temps comptait à ce point.
« Et pour ta baguette t’en rachèteras une sur la Grande Ville Marchande. Là on se barre ! »
En prononçant ses dernières paroles je savais qu’elles lui suffiraient encore moins que les premières. Moi-même je n’abandonnerais jamais ma baguette, surtout si j’étais dans une position aussi périlleuse.
Pando
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J. Ludmila Cabestany
Livre : En vol avec les Canons
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Ven 11 Aoû - 21:51
Un petit soupir de soulagement s'échappa des lèvres de Jewel. Face à cette réplique, elle savait pertinemment que c'était bel et bien ce petit con de Charlie qui était juste en face d'elle. Et ses paroles lui avaient manqués. Il lui avait manqué. Mais ça, il valait mieux peut-être ne rien dire. Quoique, serait-il venu s'il n'avait pas ressenti un petit quelque chose pour elle ?
Charlie : (...)
Sentant la main du Renard dans la sienne, elle ne bougea toujours pas. Déjà, elle n'allait peut-être pas sortir pied nu et le bide à l'air, et elle ne pouvait réellement pas partir sans cet objet. Sa baguette magique. Elle avait été la cherchée en compagnie de ses parents, et c'était un peu un objet dont elle ne souhaitait pas se défaire. A défaut d'avoir pu garder la maison, elle n'avait que quelques bijoux qui la rattachait à ses parents, et cette baguette magique dont elle avait besoin.
Charlie : (...)
(Français) Charlie s'il te plaît, je ne peux pas...
Les mots s'étaient étranglés dans sa gorge alors que les larmes montaient de nouveau à ses yeux. Jouer la petite demoiselle en détresse qui fait une crise parce qu'elle veut absolument un objet ? Non, ce n'était pas ce qu'elle était en train de faire. C'était simplement les souvenirs qui étaient rattachés à cette baguette qu'elle ne pouvait abandonner qui laissaient les larmes couler le long de ses joues. Alors elle usa du peu de forces qu'elle avait pour tenter d'entraîner Charlie dans les escaliers. Il fallait vraiment faire vite, ce n'était pas le moment de discuter. Et elle tentait de lui faire comprendre qu'il n'avait pas à débattre. Pauvre Guérin. Il venait la sauver et elle faisait sa petite chieuse à vouloir absolument un objet. Mais elle s'excuserait plus tard.
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Dim 3 Sep - 10:59
mercredi 3 août 2135 une maison rue Klostergatan, Lund, Suède
mission retrouver Ludmila la vilaine
J'allais certainement mourir à cause d’une baguette. Ou plus techniquement de deux, car j’allais perdre du temps pour l’une et me faire cueillir par une autre. Si jeune, si beau, si courageux. Sortez les violons ! Si je mourrais et que par miracle Ludmila s’en sortait elle avait intérêt de se démener pour m’offrir une gloire éternelle. Charlie le sauveur de ses amis. J'avais à la fois envie de parader et de pleurer de honte. Quelle horreur. Je ne voyais qu’une solution pour notre survie à tous les deux, se barrer maintenant et tant pis pour la baguette de la jeune fille. Nos vies étaient quand même plus importantes qu’un bout de bois, certes magique, mais que l’on pouvait racheter en un clin d’œil. Je suis certain qu’à la place de Ludmila j’accepterais ce sacrifice, je croisais maintenant les doigts pour qu’elle acquiesce à mes dernières paroles.
J'allais définitivement mourir. Ce n’était pas un “Ok partons” qui était sorti des lèvres de la féline. Au contraire. Elle me demandait, ou devrais-je dire, me suppliait d’accepter la mission baguette. Je sentais tout de même qu’il ne s’agissait pas d’un caprice de sa part. Même moi j’étais capable d’entendre la détresse dans sa voix. Et si jamais j’étais trop bête pour remarquer cela, les larmes sur ses joues étaient suffisamment révélatrices. Elle ne partirait pas sans sa baguette, il n’y avait aucun doute là-dessus. À moins de l’assommer là maintenant, mais ce n’était clairement pas une solution que j’imaginais. Rappel je ne voulais pas mourir et Ludmila me ferait la peau à posteriori si j’agissais de la sorte. De manière cynique, ce serait quand même dommage que je gâche ainsi tous les efforts que j’avais employés pour la retrouver. De manière plus sentimentale, et oui c’était possible avec moi, ça me faisait chier de la voir comme cela.
« Allez dépêchons-nous ! »
Je sentais qu’elle tirait sur ma main en direction des escaliers et en disant ces mots, je me laissai faire. Elle avait maintenant pour rôle de me guider vers la porte puis le coffre qu’il faudrait déverrouiller. En attendant je ne restais pas passif. Au contraire, j’ouvrais mes oreilles pour être à l’affût du moindre son suspect. Il fallait croiser les doigts pour qu’il n’y ait pas d’obstacle particulier à l’étage. Si le corbeau était un tant soit peu prévoyant il avait certainement fait en sorte d’empêcher Ludmila de récupérer sa baguette. À moins qu’il ait pensé qu’une simple porte verrouillée suffirait et dans ce cas-là, quel idiot.
« Tu sais s’il y a des protections à l’étage ? Tu as déjà eu l’occasion de monter ? »
D'ailleurs elle nous guidait mais savait-elle exactement où se trouvait sa baguette ? Plus besoin de chercher la définition d’une mission suicide, j’étais en plein dedans.
Pando
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J. Ludmila Cabestany
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Mer 18 Oct - 21:49
Jewel avait réussi. Charlie avait craqué et avait bien accepté de l'aider à récupérer sa baguette magique. Et elle se sentait soulagée de pouvoir récupérer ce bien qui lui appartenait depuis tellement longtemps.
Charlie : (...)
(Français avec les r roulés) Bien sûr, je peux circuler comme je veux ici. Le coffre avec ma baguette est dans le bureau.
Oui, aucun piège dans cet endroit. Ludmila était peut-être prisonnière à l'intérieur, mais en réalité elle n'avait jamais réellement cherché à fuir. Surement parce qu'elle avait besoin de récupérer sa baguette magique. Absolument. Bon, et puis il fallait dire qu'en réalité, si elle tentait de se rebêler ou de récupérer sa baguette ou ne serait-ce que mettre un pied dehors, elle finissait attachée dans la chambre et ce n'était pas agréable. Sa cheville en gardait d'ailleurs une trace. Parce que forcément, elle ne se laissait pas faire. Il fallait dire qu'elle avait un sacré tempérament. Et elle en avait mare de toujours devoir se plier aux désirs de cet homme. Alors arrivé en haut des escaliers, elle conduit Charlie jusqu'au bureau et lui poina le coffre du doigt. Il fallait qu'il se dépêche. Non pas parce qu'il y avait des sortilèges sur la porte, mais parce qu'il y en avait un sur le coffre si jamais ce dernier s'ouvrait. Alors il faudrait faire vite.
(Français avec les r roulés) Tu peux nous faire transplaner après ?
Parce qu'il fallait fuir rapidement. Ne pas rester dans cet endroit. Et le transplanage était surement le meilleur moyen pour quitter le bureau et cette maison de l'horreur. Même si ce n'était qu'un petit transplanage rapide. Elle n'avait pas besoin de se retrouver chez elle. Enfin à l'Orphelinat. Ni même chez Charlie. Ca restait trop loin, serait-il capable d'aller jusqu'en France ? D'ailleurs dans quel pays se trouvaient-ils ? Elle n'en avait toujours aucune idée.
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany Mar 7 Nov - 15:53
mercredi 3 août 2135 une maison rue Klostergatan, Lund, Suède
mission retrouver Ludmila la vilaine
En écoutant Ludmilla je crus en premier lieu que sa réponse était sarcastique. La jeune femme était totalement du genre à faire comprendre sans détour à ses interlocuteurs qu’elle jugeait leurs questions idiotes. Même quand les réponses à ces questions pouvaient déterminer leur survie. Après tout, je l’avais retrouvé dans une pièce à la porte verrouillée ce qui était loin de ma conception des mots “circuler comme je veux”. Non elle devait se moquer de moi ce qui me faisait craindre des obstacles sur cet étage. Néanmoins, un rapide coup d’œil sur Ludmila me faisait penser que ses paroles étaient tout simplement sérieuses. Elle ne semblait pas craintive en avançant vers l’endroit où sa baguette était retenue. Devais-je donc la croire sur parole et que cette maison était un vrai moulin sauf en ce qui concernait le franchissement de la porte d’entrée ? Dans ce cas-là, c'était presque trop simple et je n’aimais pas ça. Quitte à affronter un danger autant savoir à quoi s’attendre.
Enfin trêve de réflexion, Ludmila nous conduisit dans ce qui semblait être un bureau et dans lequel trônait un joli coffre. Malheureusement, il semblait bien trop lourd pour l’embarquer avec nous, puis de toute manière un système magique le retenait peut-être ici. J'allais devoir l’ouvrir et les paroles suivantes de Cabestany ne me rassurèrent pas. Si elle me posait cette question c’était qu’il faudrait fuir très rapidement. Alors oui, je savais transplaner, je n’étais pas le dernier des trolls tout de même. En revanche, je n’avais jamais eu recours à ce type de magie en étant sous pression et avec un poids tel que Ludmila pour les épaules. Désolé pour elle pour cette représentation peu flatteuse mais pour l’heure c’était vraiment ce que je pensais. Poids à croquer tout de même si jamais elle entendait ces pensées.
« Surtout, pas de pression Charlie, je sais que tu es un bon sorcier et que la réponse est dans ma question. »
Étais-je en train de lui faire comprendre que j’avais besoin d’un peu plus d’encouragements de sa part ? Oui. Elle pouvait au moins faire un effort alors que je risquais ma peau pour un fichu bout de bois auquel elle tenait tellement au point d’accepter l’idée de me voir mourir. Vu comme ça elle était ingrate. Enfin, les preux chevaliers ne se formalisaient pas de l’ingratitude de leur princesse.
« Je peux nous faire transplaner. J'ai fait du repérage dans le coin. Nous pouvons aller jusqu’à mon hôtel récupérer mes affaires. Par contre, je suis venu en avion et nous sommes censés repartir ainsi. Est-ce que tu penses que ton type va nous laisser le temps de repartir par ce moyen ? Ou nous ferions mieux de transplaner par sauts de puce jusqu’à l’entrée de la Grande Ville Marchande la plus proche ? »
Il était clair que la Grande Ville Marchande serait notre destination pour sa police et surtout pour son hôpital. Je n’étais pas médecin, dieu merci, mais il était fort probable qu’elle ait besoin de soins. Enfin, dès que j’aurais l’avis de Ludmila je pourrais passer à l’action. Déverrouiller le coffre, récupérer la baguette, transplaner et fuir ce pays merdique.
Pando
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Sujet: Re: (charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany
(charlie et ludmila) - il faut sauver le soldat Cabestany
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