i tu lis cette lettre, c'est que j'ai en ma possession quelque chose, ou quelqu'un, qui te tiens à coeur. Pour récupérer ton bien si précieux, tu vas devoir accomplir une mission pour moi.
U
tilises ce portoloin demain, à 21h précise, et il te mènera là où je t'attend. Si tu loupes notre rendez-vous, tu ne reverra pas ta précieuse chose et tu ne pourras t'en prendre qu'à toi même.
A demain, M. R.
Accompagnant la lettre : une bague en forme de tête de mort. Tu décides donc de la garder avec toi, pour ne pas louper ton départ demain. Qu'est-ce qu'on t'a volé ? Tu ne sais pas, tes proches sont pourtant bien là. Et puis ce M. R. ... Malo Retrac est mort donc ça ne peut pas être lui ? Ce mystère est entier et tu veux découvrir qui te fais une mauvaise blague. Alors voilà, en ce Samedi 10 Octobre, 20h59, tu as la bague au creux de ta main. Le voyage ne va pas tarder... Mais où vas-tu arriver ?
Les informations pour ce RP
Vous voici donc en Danemark La maison vous fait rêver n'est-ce pas ? Et bien c'est bien dans cette maison que vous vous arrivez mais... personne ne peut vous dire ce qu'il vous y attend à l'intérieur ! Surtout que vous n'êtes pas seul sur le pas de la porte...
Intervention Narrateur Ce RP n'est pas qu'un simple RP de groupe. Bien au contraire... Le @Narrateur interviendra donc dans votre RP, régulièrement, pour vous filer la peur de votre vie =° / ! \ Votre personnage est susceptible d'être blessé ! Mais rassurez-vous, on ne vous tuera pas et on ne vous coupera pas un membre
La Cabane Hantée Je ne comprends pas. Je ne comprends vraiment pas. Hier, j'ai reçu une lettre étrange. Elle me disait qu'elle avait quelque chose ou quelqu'un qui me tenait à cœur en sa possession mais... A part mon père, je ne vois pas ce qu'elle pouvais bien avoir de si précieux. Et mon père est toujours là. Prise de doute, je me suis mise à réfléchir. Je ne voyais vraiment pas ce que cette personne pouvait avoir de si précieux en sa possession, mais, au cas où, je ne pouvais pas rester sans agir. Alors je glissais la bague à mon doigt et attendis le lendemain, 21 heures. A 21 heures piles, je me sentis transportée dans les airs, comme si je transplanais. Voyager par Portoloin n'a jamais été ma tasse de thé, aussi me suis-je effondrée aussitôt arrivée. Je me relevais le plus rapidement possible pour voir que trois autres personnes étaient apparues en même temps que moi. Je leur souris et leur demandais d'une voix douce :
In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins for dance floors.
Je ramène une mèche de mes cheveux bruns derrière mon oreille, j’enfile un gilet par dessus mon pyjama avant d’éteindre la lumière de la salle de séjour. Je pousse la porte de ma chambre avant de me laisser tomber sur mon lit. J’avais passé une nuit compliquée, je n’avais pas réussi à beaucoup dormir, au final, j’avais passé la moitié de la nuit à lire, sur le sofa de papa, dans la séjour. C’était la lumière du soleil qui m’avait ramenée dans la réalité. Ça et aussi la lettre que j’avais trouvé sur la table de la cuisine, je ne savais pas comment elle était arrivée ici mais il y était simplement écrit un horaire et il y avait un portauloin à l’intérieur. J’avais tout rangé dans le premier tiroir du meuble de la cuisine. Finalement, j’avais décidé de suivre ce qui était demandé sur cette lettre, je ne voulais pas risquer quoi que ce soit pour les personnes à qui je tiens.
J’avais choisi de fermer la boutique une heure plus tôt et après ça, je m’étais changée, choisissant une tenue plus confortable à porter, jean noir, chemisier blanc et veste noire, suivie d’une paire de bottines …noires. Oui, j’étais restée dans la basique mais ça m’allait plutôt bien. Après avoir nourrie mon chat, je m’étais rassurée dans l’idée qu’elle ne risquait rien et je m’étais emparée de la bague. Quelques instants plus tard, je me trouvais dans un nouveau lieu. J’eu des vertiges pendant quelques instants, j’avais horreur d’utiliser ses moyens de transports, ça me faisait toujours mal au coeur mais c’était passé.
Mon regard se pose sur les personnes présentes à mes côtés alors qu’une jeune fille nous parle de la lettre, je m’approche d’elle « Oui, je crois qu’on a tous reçu la même. » énonçais-je à la plus jeune « au fait, je m’appelle Isabella…juste histoire de… » énonçais-je alors que je me saisis de ma baguette, pour l’avoir en main au cas où. La jeune fille qui avait pris la parole la première décida d’ouvrir la porte, levant ma baguette, j’entrais à sa suite, regardant les deux jeunes entrer avec nous. Qu’est-ce-qui allait nous attendre dans cette maison ?
LA MAISON HANTÉE qui tombera en premier ? ♚-------------------------------------------♚
Ce matin, il s'était réveillé avec une drôle de sensation. Quelque chose était posé sur son visage, quelque chose de léger et doux, mais quelque chose qui n'aurait pas du se trouver là. Levant la main, il avait refermé ses doigts sur une enveloppe. Qui l'avait posée là et quand, il n'en avait aucune idée. Il s'était redressé et avait lu son nom écrit en gros caractère sur la face avant. Un regard circulaire lui permis de voir qu'une fenêtre était restée ouverte pendant la nuit, offrant une entrée à un hibou voyageur. Circonspect, il avait ouvert la lettre et lu les quelques mots avec horreur. Quelqu'un le menaçait, mais qui ? Et pourquoi ? Et, surtout, qu'est-ce que cette personne pouvait bien lui avoir pris ? Toute la journée, il avait cogité sur la question, assis au sommet du phare avec la bague qui tournait sans cesse entre ses doigts. Il n'avait plus personne à part sa soeur qu'il avait croisée plus tôt, ce ne pouvait donc pas être elle le sujet de la menace. Quant au matériel, à part la couronne qu'il ne poserait jamais sur ses cheveux, il n'avait rien d'assez précieux pour qu'il ait peur de le perdre. Pourtant, il avait décidé de se rendre à ce fameux rendez-vous, uniquement pour regarder cette personne en face et l'envoyer chier. Royalement.
Quand l'heure fut venue de partir pour l'endroit mystérieux, Dimitri était toujours au sommet du phare dont il n'avait pas bougé depuis le matin. Le ventre noué, il n'avait nullement faim et avait eu largement assez d'une bouteille d'eau pour tenir ces quelques heures. Vêtu simplement d'un polo vert sous une veste et d'un pantalon en toile beige, il pouvait faire face à toutes les situations possibles. Avec ses baskets élégantes, il pourrait même courir s'il le fallait, que ça soit pour fuir un danger trop important ou pour poursuivre le plaisantin qui trouvait judicieux de provoquer un Prince. Debout au sommet du phare, donc, il fut happé par une espèce de crochet quand sonnèrent les vingt-et-une heures et que le portoloin se déclencha. L'instant d'après, il se trouvait devant une maison qui lui était inconnue, entouré de trois personnes, pas tout à fait inconnues. Il posa son regard sur son frère et s'en détourna aussitôt, jurant dans sa barbe. Les deux femmes, n'ayant pas remarqué le trouble des princes, échangèrent quelques paroles à propos de la lettre qu'ils avaient tous reçus. Effectivement, j'ai reçu la même cette nuit. Lui, cependant, ne l'avait pas emmenée avec lui ; elle avait fini dans la mer vers quatorze heures, après qu'il l'ait déchiquetée en mille morceaux.
La dame se présenta comme étant Isabella. Dimitri Dragsa. Vous avez toutes les deux un accent, cela veut-il dire que vous ne venez pas de Bulgarie ? En voyant son frère à côté de lui, Dim avait cru que tous étaient liés par la chose qu'on leur avait enlevée, mais si des milliers de kilomètres les séparaient, sa théorie ne tenait plus. Puis il se tourna enfin vers Connor et affronta son regard. Ce n'était sûrement pas un hasard s'ils se trouvaient tous les deux là. Il était Pozhirateli, après tout, alors peut-être était-il responsable de cette mascarade ? C'est toi qui nous a fait venir n'est-ce pas ? Ta première mission en tant que corbeau, un truc du style ? Croisant les bras, il tenta de masquer son hésitation et de n'afficher que l'assurance digne de son rang. Montrer qu'il doutait de ses propos était signe de faiblesse, et être faible ne faisait pas partie du vocabulaire des Dragsa. Bien qu'il se fiche pas mal de l'opinion de son frère depuis qu'il lui avait tourné le dos, Dimitri ne voulait pas lui donner cette satisfaction. Connor ne serait que trop fier en ce cas d'aller le dire à leur père, de ça il ne doutait pas une seconde.
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D. Connor Dragsa
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Ϟ Sorcier depuis le : 11/03/2019 Ϟ Âge : 30 Ϟ Hiboux envoyés : 2693 Ϟ Points d'Implication : 141027 Ϟ Double moldu : Alexander Calvert Ϟ Date de naissance : 26/11/1993
Depuis la rentrée, il n'était pas rare de voir Connor faire sa valise le vendredi et repartir chez lui, en sécurité, dans sa maison. Il faut dire qu'entre Dimitri et Sasha, il ne savait plus réellement où donner de la tête... Son frère avait déserté la maison familial il y avait maintenant plus de 3 mois. Ses raisons étaient justifiés mais Daniel ne pouvait pas le lui pardonner. Il avait tenté de le séparer de cette née-moldue, pour qu'il ne souffre pas, mais il s'était encore plus accroché à elle. Et voilà où ça les avait menés tous les deux. Quant à Sasha, depuis l'incident de cet été, il ne lui avait pas adressé la parole. Chose compliquée quand votre ex-meilleur ami partage votre maison, votre dortoir et connait beaucoup de choses sur vous. Mais par chance Sasha n'avait rien dit aux autres. Il avait tenu sa langue.
Le Vendredi il avait donc quitté Durmstrang pour retourner chez lui, passer le weekend avec ses parents. Et par la même occasion continuer d'en apprendre plus sur le but des Pozhiratelis. Il souhaitait les rejoindre, il se devait donc de suivre son paternel à la trace. Il l'avait d'ailleurs suivi le jour de l'assassinat de Mira alors le suivre lors de ses missions le weekend lui convenait totalement. Mais ce weekend le Prince ne parti pas en mission avec son père... Peu avant son départ de l'Institut il avait trouvé une lettre sur son lit, déposée par son hibou. Il l'avait lu et avait vite compris que quelque chose de grave avait du arriver à Alessia. Alors il avait glissé la bague dans sa poche, avait fait brûler la lettre et été parti pour chez lui, avec la vague attention de rester dans son lit tout le weekend, ou du moins jusqu'au Samedi 21h.
Feignant d'être malade et très fatigué il peut rester dans sa chambre jusqu'à l'heure fatidique. Il avait prit soin de s'habiller d'une manière confortable, oubliant les costumes. Après tout il ne savait pas où il allait mettre les pieds, il valait mieux être très prévoyant. A 21h, la bague glissée à son doigt, il sentit que l'opération du Portoloin faisait effet. Son atterrissage fut parfait - ce n'était pas la première fois qu'il utilisait ce genre de déplacement - et il fut bien surpris de trouver du monde au même endroit que lui...
Une fille, qui semblait avoir le même âge que lui ou du moins dans les alentours. Une adulte, qu'il avait déjà croisé quelque part sur la Grande Ville Marchande. Elle devait certainement y être vendeuse. Et enfin, le dernier, il le connaissait bien. Depuis qu'il avait des couches culottes pour tout dire. Connor réajusta sa veste tandis que la discussion commençait à se faire autour de la lettre. Il passa une main dans ses cheveux pour les remettre en place et là... les paroles qui lui furent adresser dans un bulgare parfait lui hérissèrent les poils.
Dimitri : (...)
(Bulgare) Et j'aurais signé des initiales de mon ennemi bien sur. Tu as une imagination débordante petit Prince.
Petit Prince... Il ne pouvait pas se résoudre à ne plus l'appeler par ce surnom. Il aurait pu lui dire seulement un "Dimitri" d'un ton bien sévère mais il ne l'avait pas fait. Même s'il ne parlait pas à son frère depuis le meurtre de Mira, Dimitri n'en restait pas moins son petit frère, son petit Prince. Daniel posa son regard sur les deux demoiselles et fit un sourire poli, comme on le lui avait toujours apprit.
(Bulgare) Enchanté de vous rencontrer, même si c'est dans de drôles de circonstances. Je me prénomme Connor, le grand-frère de cet individu.
Prenant sa baguette dans sa poche il ne tarda pas à suivre le pas des deux femmes. La première semblait pressée de rentrer là dedans. Et bien soit. Dans tous les cas, s'il leur arrivait malheur, le Dragsa s'en ficherait royalement. Il ne les avait jamais rencontré, ces deux femmes ne devaient donc certainement pas être des sang purs. Et dans ce cas il ne se devait pas de les protéger. Celui sur qui il allait garder un œil, se serait l'autre individu qui partageait son nom de famille et son sang.
D'extérieur, la maison semblait chaleureuse mais à l'intérieur... tout était noir. Il approcha sa main de l'interrupteur et les lumières s'allumèrent, faiblement. Une ampoule sur quatre fonctionnait. Mais au moins ils pouvaient voir où ils mettraient les pieds. Est-ce qu'il fallait ouvrir les volets ? Est-ce qu'il fallait se séparer ou rester ensemble ? Si séparation il y avait, il partirait avec son frère, qu'il soit d'accord ou non. C'était son rôle de grand frère après tout...
Fêtons HalloweenPozhi. L'un des garçons arrivé en même temps que moi est Pozhi. Aussitôt, mon regard se ferme et je lui tourne ostensiblement le dos, sans prêter aucune attention à sa présentation, et souris à Isabella.
- Moi c'est Glorya. Je suis française.
La jeune femme n'est pas bulgare non plus, si j'en crois son accent. Ceci dit, elle parle toujours mieux que moi, qui hache les mots. Je n'aime pas cette langue, mais je l'ai apprise par curiosité intellectuelle... Et aussi pour pouvoir comprendre ce que disent mes ennemis. Je me suis détournée de mes compagnons et ai posé la main sur la poignée, baguette brandie devant moi. J'ai ouvert la porte en me décalant sur le côté, au cas où celui ou celle qui nous avait fait venir se trouverait derrière la porte, prêt à nous lancer un sort. En première ligne, j'entrais dans la maison. L’intérieur était poussiéreux, clairement pas habité depuis un long moment. Le Pozhi alluma la lumière, qui éclaira faiblement la pièce. Presqu'en même temps, je murmurais un "Lumos Maxima", mais éteignit ma baguette rapidement au vu de la lumière des plafonniers qui était largement suffisante. Autant rester libre pour jeter un sort, au cas où. Je me tournais vers Isabella, ignorant totalement les deux garçons :
- Tu penses qu'il faut faire quoi ? Inspecter les pièces ?
In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins for dance floors.
Je n’aimais pas du tout les deux garçons qui se trouvaient avec nous, je les sentais pas trop mais bon, fallait faire avec. Arrivés à l’intérieur de la maison, l’un d’eux proposa qu’on se sépare, c’était plutôt une bonne idée et par chance, je me retrouva avec la petite blonde. Ma baguette en main, histoire de parer toute attaque si jamais il arrivait que ça se produise, je pose mon regard sur l’étudiante.
« Je suis britannique. » dis-je à la jeune femme « mais je parle correctement français alors je te parlerais en français si tu veux. Parce que parler bulgare, trop peu pour moi. » déclarais-je en faisant un petit clin d’oeil.
Je m’obligeait à parler bulgare quand ils le demandaient, quand c’était nécessaire mais là, pour le coup, je n’en avais aucunement envie alors je n’allais pas le faire. J’aime faire ce que je veux et ne pas me laisser marcher sur la tête. Je fais un signe positif de la tête.
« Oui viens, on va inspecter l’étage et on les laisse là. » déclarais-je en glissant un regard vers les deux garçons.
Pando
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Rubrique sportive
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Une maison poussiéreuse et inhabitée... Peut-être. Peut-être pas...
Une fois le dernier Dragsa dans la maison, un grincement lugubre s'éleva dans les airs. La porte venait de se refermer dans leur dos, doucement mais sûrement, révélant un magnifique clown multicolore et à l'air inquiétant peint sur le dos de la porte d'entrée. Vous pouvez toujours essayer de l'ouvrir... J'ai bien peur que ce ne soit en vain...
LA MAISON HANTÉE qui tombera en premier ? ♚-------------------------------------------♚
La réponse de Connor ne parvint pas à convaincre Dimitri qui continua de le fixer avec méfiance. Les deux femmes semblaient elles aussi ne pas lui faire confiance et s'écartèrent imperceptiblement des deux frères. Dégoûté de voir qu'il était inclus dans le même lot que son frère, Dimitri décida qu'il ne ferait aucun effort pour ces femmes qui le jugeaient à cause de sa famille. Comme toujours, il était vu comme la miniature de son frère, et il en avait marre. Ils n'étaient pas pareils et si l'un était prêt à rejoindre les Pozhiratelis, ce n'était pas le cas de son cadet. Et pour couronner le tout, Connor précisa à ces dames qu'ils étaient frères, ce qui ne les aiderait pas à faire la différence entre eux. Soupirant de frustration, Dimitri suivit la troupe à l'intérieur avec les mains en poche. Ses doigts étaient serrés autour du manche de sa baguette, prêts à agir si danger il y avait mais clairement pas pressés de sortir. Il faisait sombre et sale, comme s'ils étaient les premiers à pénétrer dans cette salle depuis des lustres. Leurs pas laissaient des traces derrière eux et tout ce qu'ils touchaient gardaient la marque de leurs doigts. Une chose était sûre, celui ou celle qui les avait faits venir ici n'était pas entré par là.
Les deux femmes partirent de leur côté assez rapidement, ce qui fit grincer des dents Dimitri. Il aurait voulu partir lui aussi dans une autre direction, mais il sentait que son frère allait le coller jusqu'au bout, sans savoir pourquoi il ferait ça. Ils ne s'étaient plus parlé depuis juillet, quand il avait quitté le manoir familial, alors pourquoi voudrait-il soudain lui coller au train ? Ca me soule, j'me casse. Bien décidé à ne pas passer toute sa soirée avec son frère le parfait pozhi, Dimitri fit demi-tour et se dirigea vers la porte laissée ouverte. Sauf que celle-ci se refermait avec un bruit inquiétant, figeant les jambes du Voda à quelques pas d'elle. Une fois totalement refermée, la porte dévoila le dessin qui était tracé sur la face intérieure : un clown. Et c'était censé leur faire peur ? Les mains toujours en poche, Dimitri acheva de se diriger vers la porte et plaça sa main sur la poignée, qui refusa de tourner. Et merde, c'est fermé. Serrant les dents, il donna un coup de pied dans le battant et se retourna. Les fenêtres étaient condamnées par des planches et, de toute façon, elles étaient trop étroites pour qu'ils s'y faufilent.
Soufflant de frustration, Dimitri passa la pièce en revue et se dirigea vers une porte menant à une autre salle. Celle-ci s'ouvrit sans difficulté sur une cuisine équipée presque aussi poussiéreuse que la salle principale. Il alluma la lumière et regarda derrière le battant de la porte, s'assurant qu'aucun autre dessin ne s'y trouve dans le but de les "effrayer". Il fit rapidement le tour de la pièce sans vérifier que son frère soit collé à ses basques, ouvrit des armoires au hasard, inspecta les possibles cachettes et le plafond. Y a que dalle ici... Il traça un long trait dans la poussière sur la table, se demandant ce qu'il faisait là. Qui l'avait fait venir, pourquoi ? Et pourquoi avec Connor ? Sa vie était déjà un désastre sans qu'il ait besoin de rajouter des merdes à sa liste, non ? Et bien non, visiblement.
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D. Connor Dragsa
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Glorya. Isabella. Des noms sans grande importance. D'autant plus que ces deux filles se permirent de partir vers les escaliers. Et bien soit. Si elles voulaient s'amuser à faire leur petite vie tranquillement, qu'elles s'amusent. Mais si dans deux secondes elles se mettaient à cracher leurs poumons à force de crier, Daniel ne viendrait pas à leur secours. Elles devraient se démerder comme des grandes, puisqu'elles se croient si supérieur.
Dimitri : (...)
Alors qu'il les regardait monter, il se tourna ensuite vers son frère. Se casser... Il avait raison. Peut-être qu'il en ferait autant. La porte se mit alors à faire un léger bruit et se referma devant le nez de son frère pour laisser apercevoir... un clown. Sérieusement ? Qui a peur de ces conneries ? Certainement pas lui. Et vu que Dimitri s'approchait de la porte pour essayer de l'ouvrir, certainement que lui aussi n'avait pas peur de ça. En même temps, à part vous donner la gerbe tellement le dessin est moche, ce clown ne fait rien d'autre.
Dimitri : (...)
Bien décidé à ouvrir cette porte, Dimitri donna un coup de pied. Bien que tout semble pourri, la porte ne s'ouvrit pas. Et le coup que donna le dernier enfant Dragsa ne fit même pas un trou dans la porte. Armé de sa baguette, l'aîné s'approcha de la porte tandis que Dimitri s'en éloigné. Il pointa sa baguette en direction de la serrure et ...
(Bulgare) Alohomora
Daniel s'empara de la poignée, la tourna et... la porte était toujours verrouillée. La blague... Lui, le grand Connor Dragsa, étudiant de Voda le plus intelligent de son année - et de tous les 7ème année - il venait d'échouer sur un sort rudimentaire ? C'était une blague ! Un puissant sortilège devait certainement recouvrir cette porte pour que ça ne fonctionne pas, il n'y avait pas d'autres explications. Face à son échec, Connor s'attendait à un fou rire de la part de son petit frère. Mais quand il se retourna, Dimitri n'était plus là.
(Bulgare) Putain il est où ce con...
S'approchant d'une première porte, il l'ouvrit et tomba dans un salon, mais pas de trace de Dimitri. Il observa les escaliers, mais il ne l'avait pas entendu grimper les marches. Alors que les filles s'étaient fait entendre quand elles les avaient gravies. Daniel s'approcha alors d'une autre porte et là, il le trouva.
Dimitri : (...)
(Bulgare) Ya un salon de l'autre côté, on aura peut-être plus de chance pour tenter de trouver une sortie.
Trouver une sortie... Et le plus vite possible. Au final, avoir son petit frère avec lui serait certainement plus problématique que s'il était parti avec l'une des deux filles.
Fêtons HalloweenIsabella. Je l'aime déjà. Je lui lance un grand sourire et acquiesce :
- Je veux bien parler français, si ça ne te dérange pas. Je n'aime pas le Bulgare non plus.
Je sursaute légèrement quand la porte claque, nous laissant voir un clown ridicule peint sur le dos de la porte. Je suis Isabella à l'étage, laissant les Pozhi en bas. Qu'ils se fassent bien peur, je m'en fous. Je n'irais pas jusqu'à souhaiter leur mort, je trouve ça trop horrible, mais je ne leur veux pas que du bien. Avec Isabella, nous nous retrouvons donc sur le palier du premier étage, face à un couloir percé de portes fermées. Bon. Je regarde l'anglaise et demande :
In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins for dance floors.
« Va pour parler français. » lui dis-je avec un sourire.
Je n’avais clairement aucune envie de parler bulgare et encore moins de rester avec les garçons, je n’arrivais aucunement à leur faire confiance, je ne sais pas trop pourquoi, je n’y arrivais juste pas. C’était peut être complètement stupide de se séparer mais c’était mieux que de tous mourir au même endroit non ? Pas que je dise qu’on va mourir, loin de moi cette idée mais je voulais découvrir ce qui se passait franchement. Arrivées à l’étage, nous nous retrouvons devant un couloir percé de portes fermées. Je respire longuement avant de faire un signe positif de la tête.
« Oui allons y. » déclarais-je finalement.
Ma baguette pointée devant moi pour me défendre si besoin, le grand bruit d’en bas me fis sursauter mais je ne le montra pas, bien que mon coeur battait trop rapidement à mon goût. C’était surement les deux garçons. Me tournant vers mon acolyte du jour, je la regarde ouvrir la porte en grand et tends ma baguette devant moi. Il faisait sombre.
« Lumos. »
Le bout de ma baguette s’illumina devant moi et je pris finement les devant pour avancer dans cette nouvelle pièce.
Pando
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Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Jeu 2 Mai - 17:47
Bienvenue dans la maison de l'horreur
Peut-être @Isabella V. Ravenswood aurait-elle du s'abstenir d'utiliser Lumos... La lumière qui sort de sa baguette projette tout à coup des ombres inquiétantes sur le sol. Une musique de cirque s'élève doucement dans les airs. Elle semble provenir de derrière cette porte abîmée. Un " au secours " étouffé se fait alors entendre. Lui aussi provient de derrière cette porte... Serait-ce une trace de sang sur la poignée ? Y aurait-il quelqu'un de blessé qui aurait besoin d'aide ? Il n'y a qu'un moyen de le savoir...
Tandis que les deux frères se retrouvent réunis dans la même pièce, une voix féminine provient du "salon de l'autre côté". Ils peuvent l'entendre mais ce qu'elle dit est incompréhensible. Serait-ce la voix de Mira ? Ou plutôt celle d'Alessia ? Il n'y a qu'un moyen de le savoir...
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Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Ven 3 Mai - 21:41
LA MAISON HANTÉE qui tombera en premier ? ♚-------------------------------------------♚
Quand la voix de son frère lui parvint, toute proche, Dimitri comprit que ce dernier l'avait rejoint. Il ne savait pas trop s'il en était agacé ou soulagé, n'ayant pas tellement envie de se retrouver seule dans cette maudite baraque. Il haussa les épaules et se tourna vers la porte pour quitter la cuisine. Au point où on en est... L'espace d'une seconde, il fut tenté de s'emparer d'un couteau de cuisine, comme les moldus le faisaient dans les films d'horreur qu'il avait regardés avec Connor et Demetria, puis se ravisa. Avec sa baguette en main, il n'avait pas besoin d'une nouvelle arme, encore moins une avec laquelle il serait capable de se blesser tout seul. Alors qu'il venait de faire un pas, une voix féminine lui parvint faiblement. Croyant d'abord aux deux filles, il ne s'y intéressa pas le moins du monde mais... ce timbre de voix, chaud et légèrement rauque, ce n'était pas l'anglaise ni la française. C'était Mira.
Oubliant instantanément où il se trouvait, Dim se précipita vers l'endroit d'où venait la voix. Il avait même oublié qu'elle était morte, que son propre père l'avait tuée, qu'il avait vu le corps dans son cercueil d'ébène. Il entra dans le salon, où la voix se fit plus forte, mais ne la vit nulle part. Mira ? Paniqué, il se mit à fouiller la pièce à fond. Il regarda sous les divans, dans les armoires, derrière les tentures... Si ça ne lui avait pas semblé ridicule, il aurait même soulevé les tasses posées à l'envers sur la table basse. Désespéré, il se tourna vers son frère. Mec, dis-moi que tu l'entends aussi ? Je deviens fou ? Où est-elle ? Sa voix monta dans les aigus tandis qu'il se passait les mains dans les cheveux. Elle était là, quelque part... Mira était là. Elle l'appelait, avait besoin d'aide, il en était persuadé. Mais comment pouvait-il l'aider si elle restait cachée ?
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D. Connor Dragsa
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Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Dim 5 Mai - 22:26
La cabane hantée
Samedi 10 Octobre 2133
Dimitri : (...)
Où ils en étaient ? Enfermés dans une maison. Alors quittes à y être enfermé, autant chercher une sortie en visitant toutes les pièces. Attendant que son frère arrive à sa hauteur, Daniel tenait fermement sa baguette entre ses mains. Mais il avait un doute... Si son Alohomora de tout à l'heure n'avait pas fonctionné, est-ce qu'un autre sort aurait un effet quelconque ? Il ne pouvait pas se dire qu'il avait perdu la magie en lui... Déjà qu'il se ferait certainement réprimander pour être sorti en douce alors si en plus il ne maîtrisait plus la magie, il pourrait creuser lui même sa tombe aux côtés de celle de ses ancêtres...
Une voix ramena Connor hors de ses songes. Cette voix, elle était lointaine. Il ne la connaissait que très vaguement. Mais impossible de dire à qui elle appartenait.
Dimitri : (...)
(Bulgare) Dimitri attend.
L'aîné essaya de rattraper son cadet mais il lui fila entre les doigts et parti en direction de ce fameux salon. Poussant un soupir le Dragsa s'élança à la suite. Il était totalement inconscient. Il n'avait pas apprit qu'on ne se jette pas comme ça dans un lieu qu'on ne connait pas ? Qui sait ce qui pourrait se trouver derrière ? Quand Connor entra dans la pièce, il ne vit rien. Que son petit frère qui s'agitait partout, à la recherche de quelque chose qui n'était pas là. Mira. Elle était morte. Il l'avait vu s'écrouler inerte devant lui. C'était d'ailleurs pour ça qu'ils se faisaient la gueule tous les deux. Mais là, il ne reconnaissait plus son frère... Il semblait... totalement ailleurs.
Dimitri : (...)
Cette fois c'était trop. Daniel s'approcha de son cadet et lui fila une magnifique droite. Il fallait lui remettre les idées en place. Il devait se ressaisir. Cette maison allait les rendre fou sinon ! A peine eu-t-il fini de lui mettre une claque qu'il l'attrapa par les épaules et le maintient de toute ses forces.
(Bulgare) Mira n'est pas là Dimitri. Tu sais comme moi qu'elle est morte. Père l'a tué. J'étais là quand son corps s'est écroulé sur le sol. Alors détestes moi mais arrêtes de penser à elle. Tu as foncé comme un crétin dans cette pièce sans savoir si quelqu'un pouvait te tendre un piège. Tu as mis inconsciemment ta vie en danger pour une voix.
Le ton qu'avait employé Connor était dur, froid et sec. Il avait parlé légèrement haut, histoire que son petit frère sorte de cet état étrange dans lequel il s'était mit. Pendant un instant il hésita à le ramener à lui et à le serrer dans ses bras. Il avait beau le détester depuis sa naissance, d'être jaloux de lui et de l'attention que Demetria lui donnait, il l'aimait. C'était son petit frère. Et si à cause d'une voix il l'avait vu mourir sous ses yeux, tombant dans un piège débile, il s'en serait voulu. Et pourtant Connor ne bougea pas. Son visage restait inexpressif, même si ses yeux brillaient légèrement d'une petite larme en formation. Il tenait toujours fermement son frère par les épaules et attendait qu'il se calme.
Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Dim 12 Mai - 20:42
Fêtons HalloweenQuand l'Anglaise a allumé sa baguette, des ombres étranges sont apparues sur le sol. Un frisson a parcouru mon corps en le secouant des pieds à la tête. C'était vraiment... Glauque, comme décor. Sans compter cette foutue musique... J'avise la porte, salement abîmée, au fond de la pièce. C'est de là que vient la musique. Je m'approche de la porte, prudemment, les sens affinés à l'extrême. Je n'ai jamais été aussi concentrée. Je suis assez proche de la porte pour voir les traces sombres, que je prenais pour de la peinture écaillée, et qui semblent être en réalité ... Du sang ? Je me mis à chuchoter pour Isabella, le cœur battant à tout rompre :
- Il y a du sang sur la porte. Et tu entends cette musique ? Elle vient de là.
Dès que j'ai eu fini de parler, une voix s'éleva, ténue, semblant venir de la pièce derrière la porte. "Au secour ...". Je me suis retournée vers Isabella, l'interrogeant du regard pour savoir si elle était prête. Puis j'ai regardé à nouveau la porte et ai posé la main sur la poignée. Et j'ai poussé la porte, me tenant prête, ma baguette magique brandie devant moi.
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Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Sam 1 Juin - 11:05
Bienvenue dans la maison de l'horreur
Glorya semble bien déterminée à trouver qui est la personne qui crie derrière cette porte. Alors elle l'ouvre. Mais peut-être qu'elle aurait dû s'abstenir... La pièce est carrée, mais en son centre se trouve un tapis de cirque. L'éclairage est faible, digne des grands spectacles. Et au milieu de la piste : deux personnages. Si on décrit le premier... Disons qu'il est plutôt inertes, du sang s'échappant de son ventre. Le regard est vide, rempli de désespoir. Le désespoir d'une mère qui se pose sur son enfant, Glorya, avant qu'elle ne ferme ses yeux : la vie l'a quitté. Le second personnage se tient quant à lui debout à côté de ce cadavre. Une hache pleine de sang dans les mains, le clowns se tient fier. Le sourire sur-dessiné sur son visage pourrait faire frémir n'importe qui. Et puis cette lueur de tueur que vous lisez dans ses yeux... Fuyez avant d'être sa prochaine victime !
Au rez-de-chaussée, Dimitri n'a pas le temps d'en vouloir à Connor pour ce retour à la réalité par une baffe. Enfin réalité... Laissez moi en douter. Parce que cette fois ce n'est plus la voix de Mira qui s'élève dans les airs, mais celle d'Alessia. Connor ne la reconnaîtra peut-être pas , puisqu'il ne connait pas cette jeune femme. Mais cette fois s'élève bel et bien énonçant un seul mot : "Non". Un non si fatidique qui pourrait être prononcé le jour d'un mariage et qui résonne en boucle dans la pièce, venant d'endroits différents, se faisant de plus en plus fort. Bientôt à ce "Non" se mêle la voix de Mira, qui crie "Tues-le comme il m'a tué". Les deux voix s'emmêlent et deviennent de plus en plus fortes.
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Sujet: Re: Danemark - Glorya & Isabella & Dimitri & Connor Jeu 20 Juin - 17:52
La Maison Hantée
In a house of attics, she spends the rest of her life trying not to kiss the man who lives with her, no matter how often he brews the tea or brings her caramels. Instead, she walks like a prison guard through the secret rooms of secret rooms, between small cages where she keeps the trees, skinny and whimpering in her flashlight beam, before flaying off their skins for dance floors.
Pourquoi tout tournait continuellement au bordel en ce moment ? Alors qu’on pensait pouvoir trouver un moyen pour sortir de là, après avoir entendu des cris très étranges et effrayants. Voilà qu’on se retrouve véritablement devant une scène de crime si on peut appeler ça ainsi. Mais là, ce n’est pas le pire. Non, ce n’est pas non plus le sang le pire. Non le pire, c’est le clown qui se tient à ses côtés.
« Non…non…non… » sont les seuls mots qui sortent de mes lèvres.
Non, pas des clowns. Je respire difficilement. Son regard de tueur. Non, ce n’était tout bonnement pas envisageable de rester là. Je me rappelais des clowns de mon enfance, ceux qui me fichaient la frousse. Mais là, c’est multiplié par dix. Il nous regarde et son sourire me fait frémir. J’attrape la main de Glorya.
« Viens ! » hurlais-je.
Je ne pouvais pas rester là sinon j’allais clairement mourir de peur et ce n’est pas qu’un euphémisme.
Pando
Narrateur
Rubrique sportive
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Aucune réaction de la part de son frère. D'un côté, c'était rassurant : il semblait être sorti de cet état. Mais d'un autre, ça ne l'était pas du tout. Daniel aurait préféré que son cadet lui rende cette droite qu'il venait de lui coller. Au moins, il aurait montré à Connor qu'il était bel et bien de retour parmi eux, dans cette maison horrible.
Et... leur calvaire n'allait pas s'arrêter de si tôt. Toujours ses mains sur les épaules de son petit frère, une voix se mit alors à raisonner de nouveau dans la pièce. Ce n'était pas celle qu'ils avaient entendus précédemment, bien au contraire. Cette voix, il ne la reconnaissait pas. Et pourtant ce "non" si sévère lui donnait la chair de poule. Lâchant les épaules de son jeune frère, l'aîné des Dragsa fit un petit tour sur lui-même, lentement, les yeux plissés. Mais il ne voyait rien. Ni personne. LA voix semblait provenir des murs et il n'y avait même pas une enceinte qu'utilisait les moldus pour produire de la musique à plusieurs endroit en même temps. Rien... Les voix semblaient sortir des murs.
Et à ce "non" vient bientôt se joindre la voix qu'ils avaient entendus tout à l'heure. Celle de Mira donc. Une voix qui ne présageait rien de bon. Est-ce qu'elle parlait à Dimitri quand elle disait de le tuer ? Bien sur ! Il fallait pas être con pour comprendre le sens de cette phrase. Et vu comment son petit frère s'était emporté précédemment, il ne faisait aucun doute que cette voix allait le rendre fou et... qu'il allait certainement s'attaquer à son aîné.
Refermant sa prise sur sa baguette, Daniel s'éloigna de quelques pas de son jeune frère. S'il devait se défendre, il était près. Son regard bleu rivé sur Dimitri, il guettait une réaction tandis qu'il tentait de faire abstraction de ces voix qui continuaient de hurler. S'il parvenait à sortir d'ici, tant mieux. S'il n'y arrivait pas, alors il finirait surement à St Mangouste dans une état... de légume à hurler ce "non" qui continuait de se propager dans la pièce. Oui, il allait devenir fou s'il ne sortait pas rapidement de là... Pire, les deux frères pourraient même se faire beaucoup de mal...
Fêtons HalloweenJe n'aurais peut-être pas dû ouvrir la porte. J'aurais peut-être dû la laisser fermée. Quand la porte s'est ouverte, j'étais prête à attaquer, à lancer un sort, mais je me suis figée dès que j'ai vu le corps. Le corps de ma mère. J'ai poussé un hurlement de désespoir quand elle a fermé les yeux. Elle était morte, pour la deuxième fois, sous mes yeux. Je n'ai pas fait attention au clown à côté d'elle. Ni à Isabella qui semblait terrifiée. Les larmes brouillaient ma vue, et je me serais effondrée si l'anglaise ne m'avait pas agrippé la main. Ce contact m'a rendu ma lucidité. Ma mère était morte quand j'avais neuf ans. Elle ne pouvais donc pas être là, dans cette maison, aujourd'hui. Serrant la main d'Isabella, je l'ai entraînée hors de la pièce. J'ai dévalé les escaliers et ai foncé droit devant moi, ma baguette toujours brandie devant moi, m'orientant à peine. Les larmes roulaient toujours sur mes joues, mais je n'y faisais pas attention. Je ne pensais qu'à sortir de cette maison de malheur. J'ai ouvert une porte au hasard et ai foncé droit devant moi. J'ai rencontré un obstacle, un corps que je n'avais pas vu. J'ai pointé ma baguette sur ce corps avant de me rendre compte que c'était le Pozhi. Qui lui tenait sa baguette pointée vers son frère. Je ne comprenais pas ce qui se passais, mais je n'allais pas laisser ce garçon tuer son propre frère. Alors je me suis interposée entre eux deux, lâchant la main d'Isabella. Je faisais face au Pozhi, mais aussi à la porte derrière lui par laquelle nous étions entrées. Des fois que le clown ait la mauvaise idée de nous suivre... Séchant mes larmes, je lançais au Pozhi :
- Tu ne vas pas lancer un sort à ton propre frère, quand même ?
Mon ton était sec, peut-être un peu trop, mais on ne savait jamais.
Le soleil se lève et vous voilà dans votre lit. Etait-ce un rêve ? Curieux tout de même de se retrouver dans une maison semée d'embuches avec des inconnus, de simples connaissances ou même des amis. Quoiqu'il en soit vous ne retrouvez pas la lettre là où vous l'aviez conservée. Peut-être serait-il nécessaire de contacter le secrétariat pour signaler cet événement. Ou peut-être contacter vos camarades de fortune.
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